Vie et Oeuvre de Adolphe Boulland

Références :

Synthèse :

Par ces deux ouvrages nous savons que le pont suspendu de la Roche-Guyon est en construction en Septembre 1837, en remplacement du bac existant, et qu'il est achevé avant 1841, date de parution du premier document cité. Le nom de l'architecte Boulland est un nom d'architecte dèjà maintes fois rencontré en tant que pionnier de ce type de construction. Notons que M. Boulland eut, en plus de la contruction du pont, le devoir de créer la route qui reliait La Roche-Guyon à Bonnières.

Synthèse :

Pour franchir la Durance à cette hauteur, un bac est présent depuis le XIème siècle. Comme tous les bacs, leur utilisation est très difficile pendant les hautes eaux, et donc en 1834, le Conseil général de Vaucluse, ainsi que la commune de Cadenet demande en remplacement la construction d'un pont suspendu.
La construction du pont suspendu de Cadenet est confiée à Adolphe Boulland, ingénieur civil. Et ainsi le pont suspendu est ouvert à la circulation en Octobre 1839 moyennant droit de péage.
Le pont devient propriété des départements des Bouches du Rhône et de Vaucluse en 1883. Le pont subit alors des travaux de consolidation sous la direction de Ferdinand Arnodin, qui permet dès lors d'augmenter le poids admissible des véhicules de 6 tonnes à 16 tonnes.
Ce pont a été détruit par la résistance le 15 août 1944 pour tenter de freiner l’avance des troupes alliées.

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Synthèse :

L'ordonnance royale du 28/1/1838 autorise la construction d'un pont suspendu sur le Rhône à hauteur de Saint-Genix-sur Guiers, sur la route royale N°92 reliant Valence à Genève. L'adjudication eut lieu le 2/5/1838 en faveur des Sieurs Boulland et Etienne Guerey, en contrepartie d'une concession de 59 ans et 11 mois. La mise en service (date de début de la concession) eut lieu en 01/1840. Ce pont comporte 2 travées pour une longueur de 160m entre culées, et une largeur de tablier de 5.5m. La concession du pont a été rachetée par l'Etat avant 1872.

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Synthèse :

Le pont suspendu de Chauvort a été construit , établissant une liaison routière entre les communes d' Allerey et de Verdun-sur-le-Doubs, séparées par la Saône; Le processus d'adjudication des ponts de Bragny et de Chauvort a été un peu particulier, puisqu'initialement n'était prévu que le pont de Bragny (sur la Saône) (adjugée au sieur Boulland), en remplacement du bac du même nom. Mais suite à différentes réclamations, et propositions, cette ordonnance initiale pour un pont se transforme le 22-08-1837 en ordonnance pour deux ponts, celui du passage de Chauvort et celui de Bragny, travaux et concession adjugés de facto au même Sieur Boulland. Les deux ponts ont été construits simultanément en 1840-41.

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Synthèse :

Le pont suspendu de Bragny a été construit , établissant une liaison routière entre les communes de Bragny et de Verdun-sur-le-Doubs, séparées par la Saône; Le processus d'adjudication des ponts de Bragny et de Chauvort a été un peu particulier, puisqu'initialement n'était prévu que le pont de Bragny (sur la Saône) (adjugée au sieur Boulland), en remplacement du bac du même nom. Mais suite à différentes réclamations, et propositions, cette ordonnance initiale pour un pont se transforme le 22-08-1837 en ordonnance pour deux ponts, celui du passage de Chauvort et celui de Bragny, travaux et concession adjugés de facto au même Sieur Boulland. Les deux ponts ont été construits simultanément en 1840-41.

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Synthèse :

L'ordonnance autorisant la construction du pont suspendu sur la Loire à Muides sur Loire a été publiée le 7 Juillet 1840. Après un deuil qui entache sa construction, le pont est finalement inauguré le 25 Aout 1843, comme le confirme l'invitation de M. l'évêque ce jour (voir L'ami de la religion). Ce pont subsistera jusqu'en 1931, où la construction d'un pont métallique décidée en 1925, aboutira. Ce dernier ne reprendra pas les principes du précédent mais sera constitué de deux parties sur chacun des deux bras qui entourent une île de 125 mètres de large.

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Synthèse :

Ce pont construit sur le Gardon, en remplacement du bac existant, dont la construction est autorisée le 13/11/1839, fait l'objet d'un deuxième arrêté le 10/2/1841 qui interdit tous les passages à gué en amont et en aval, sur une distance de 1200 mètres. Ce dernier arrêté réunit les conditions pour une adjudication fructueuse.Nous savons par ailleurs que le 19 Septembre 1843, une crue emporte les premiers ouvrages mis en place pour la construction du pont. Nous en déduisons que le pont fut mis en service dans l'année qui suivit. ce pont est constitué de 2 travées suspendues par fil de fer, pour un elongueur totale de 121.8m et une largeur de 3.8m.

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Synthèse :

Ce pont suspendu franchit l'Allier au lieu-dit Port de Ris, à hauteur du confluent de l'Allier et de la Dore. Comme dans de nombreux ouvrages de A. Boulland, le pilône est décoré à la façon d'une tourelle moyenâgeuse. Il fut, semble-t-il, détruit au milieu du 20 ème siècle.

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Synthèse :

Au-delà des informations synthétisées dans la "carte d'identité" du pont présentée ci-dessus, nous ne disposons guère d'autres informations.

Dans la consultation des Archives Départementales, nous avons noté globalement des relations très tendues entre l'administration et le concessionnaire, ayant conduit à une réception définitive retardée (mi-1848). Il s'en est suivi un très mauvais entretien du pont, malgré de nombreuses mises en demeure.

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Synthèse :

Jusqu'au milieu du 19ème siècle, la traversée du Rhône au Pouzin s'effectuait par bac.
Livré le 27 février 1849, le premier pont du Pouzin était un pont suspendu de 285 m environ, à 3 travées indépendantes égales, les mêmes qu'aujourd'hui. Son tablier était en bois. Il fut emporté par la crue séculaire du 30 Mai 1856, puis reconstruit.

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Références :

Synthèse :

Nous ne disposons guère d'informations. Toutefois, la forme caractéristique du pilier donne à penser que ce pont fut construit par M. Boulland, architecte parisien, qui affectionnait particulièrement cette forme "moyenâgeuse" des piliers (voir Montpezat, Confolent", ...). Ceci demande bien sûr à être confirmé.

Synthèse :

Le Premier pont suspendu du Pouzin fut emporté par la crue séculaire du 30 Mai 1856, puis reconstruit (date présupposée de 1857). Il fut racheté par l'Etat le 1er janvier 1886 pour une somme de 25.353 F
Sa modernisation avait été envisagée avant la guerre, mais lors de l'avance ennemie, l'autorité militaire procéda à la destruction du tablier en juin 1940. De 1941 à 1944, un ouvrage provisoire est mis en place. En 1944, il subit des bombardements importants.

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Références :

Synthèse :

Les ouvrages (2) et (3) nous précisent que le concessionnaire du pont est M. Boulland, que sa construction est engagée en 1861, et prêt à être livré à la circulation en Oct 1861, et qu'en 1886, le rachat de la concession est en cours de négociation avec le concessionnaire.

Synthèse :

La demande de franchissement de la Loire au niveau de Confolent (à proximité de Beauzac) était rendue de plus en plus exigeante, notamment pour le transport de pierres en provenance de la carrière de Pont de Lignon, et le service du bac en place ne suffisait plus. En conséquence, la construction d'un pont suspendu au confluent de la Loire et du Lignon fut décidée le 22 mars 1862 par le Conseil Général du département.
Le pont fut construit en 8 mois, et mis en service dès janvier 1863 par le sieur Adolphe Boulland , moyennant une concession d'une durée de 27 ans et 11 mois et donc un péage pour cette même durée.
D'importants travaux furent nécessaire dès 1894. Après la rupture successive de deux câbles de suspension en 1913 et 1921 rendant l´ouvrage inutilisable, une revalorisation complète a été réalisée par l´Entreprise Arnodin en 1922.

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Références :

Synthèse :

Grâce à la notice ci-dessus, nous savons que l'ouvrage a été détruit partiellement suite à l'ouragan du 9.10.1907-

Références :

Synthèse :

Les informations disponibles sur ce pont proviennent principalement de (1).

Synthèse :

Nous ne disposons guère d'informations. Toutefois, la forme caractéristique du pilier donne à penser que ce pont fut construit par M. Boulland, architecte parisien, qui affectionnait particulièrement cette forme "moyenâgeuse" des piliers (voir Montpezat, Confolent", ...). Ceci demande bien sûr à être confirmé.