Vie et Oeuvre de M. Le Joindre

Synthèse :

Ce pont situé sur la rivière de l'Othain, entre Marville (Meuse) et Saint-Jean (Muerthe et Moselle) est mitoyen entre les deux départements. Il est constitué en charpente, de 4 travées sur piles et culées en pierre. La portion de route à laquelle il appartient a fait l'objet de reconstruction en 1834 et 1835, d'après le projet présenté par MM LE Joindre et Le Masson.

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Synthèse :

En 1840 un projet pour la construction d'un nouveau pont de cinq arches, surbaissées, de 22 mètres d'ouverture chacune, a été présenté par MM. Le Joindre et Le Masson.
Dès le commencement des travaux, l'entrepreneur, le sieur Guillemard , est décédé , leur continuation a été ordonnée par voie de régie administrative, M. Eugène Thomas, conducteur embrigadé, a été nommé régisseur sous la direction des ingénieurs. — Les travaux, terminés en 1846,.
se sont élevés à 640521 fr. 24 c., somme répartie ainsi : ministère des travaux publics, 481126 fr. 94 c. ; ministère de la guerre, 58894 fr. 30 c. ; département de la Moselle, 75500 fr. ; ville de Thionville, 25000 fr. L'inauguration du pont a eu lieu le 1er novembre 1846. M. Plassiard, ingénieur ordinaire, a reçu la décoration de la Légion-d'Honneur, et M. Eugène Thomas a été élevé à la première classe de son grade. Une médaille a été frappée par les soins de l'administration supérieure pour rappeler la construction de ce monument.

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Synthèse :

Le Pont des Morts à Metz est situé sur le bras non naviguable de la Moselle, au service de la route impériale N°3, de Paris à Metz et à Mayence.
En 1324, ce pont était en bois mais il est noté que ce pont était initialement en pierre. La reconstruction des ponts Saint Georges, Moyen -pont, Thieffroy et Ponts-des-morts débuta en 1336. En 1421, ce pont est recouvert par la Moselle en crue, mais résiste. En 1831, plusieurs arches éboulées menaçaient ruine et il a fait l'objet d'une restauration complète de 1845 à 1847. En 1863, il comptait 17 arches.

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Synthèse :

En l'an VII (1799), (pour le service de la route impériale N°18 de Paris à Longwy et à Luxembourg), on a construit deux ponts en charpente réunis sur les rivières de Chiers et de Crusnes, dans la ville de Longuion , d'après un projet présenté le 29 frimaire par M. Saget, ingénieur en chef. Dépense faite, 7200 Fr. .... En l'an XIII (1805), réparation des ponts de Longuion par suite des avaries très-fortes causées par l'inondation du 16 pluviôse. En 1853, reconstruction des ponts de Longuion d'après les projets présentés par MM. Le Joindre, ingénieur ordinaire, et Le Masson, ingénieur en chef. Dépense faite, 46558 Fr 38 cent. Ces ponts sont composés chacun de trois travées en charpente de 6m,83 d'ouverture sur piles et culées en maçonnerie.

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Synthèse :

Ce pont est situé sur le bras non navigable de la Moselle, parallèle au pont de Thionville. Il communique avec la rue du Pont-des-Morts.
Ce pont fut aussi appelé pont Thieffroy, qui est devenu le Pontiffroy, et enfin le pont de Thionville. Cette appellation s'explique car il est situé sur la grand-route qui conduit à ce chef-lieu.
En 1324, ce pont était en bois mais il est noté que ce pont était initialement en pierre. La reconstruction des ponts Saint Georges, Moyen -pont, Thieffroy et Ponts-des-morts débuta en 1336.
En 1340, la construction primitive d'un pont de 12 arches, semblable à celles du pont des Morts semble être achevée.
En 1734, eut lieu la construction de 3 arches, rive gauche, puis en 1751 la reconstruction de 8 arches rive droite.
En 1854, fut engagée la restauration et l'élargissement à 3m10 des onze arches du pont.

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Synthèse :

Entre 1822 et 1823, le pont Rouge, situé sur la Sarre, à Sarralbe, a été construit en charpente sur piles et culées en maçonnerie, d'après le projet présenté par MM. Wenger, ingénieur ordinaire, et Bouquet, ingénieur en chef - dépense faite de 11765.65 Fr. Ce pont sera reconstruit en pierre en 1856, d'après le projet présenté par M. Eugène Thomas, conducteur principal, faisant fonction d'ingénieur, et de M. Le Joindre, ingénieur en chef - la dépense sera de 11 500 Fr.

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