Présentation détaillée (partielle)
de la compagnie Entreprise Arnodin

Synthèse :

Avec ses câbles de fer et sa pile centrale, le pont d'Andance est le plus vieux pont suspendu de France encore utilisé aujourd'hui. Andance se trouve en Ardèche, sur le Rhône entre Tournon et Serrières. Ce pont constitué de 2 travées suspendues par fil de fer, long de 185m, fut construit en 1827 par les frères Seguin et l'architecte tournonais Thévenet.  Détruit en grande partie le 30 août 1944, il fut reconstruit et surélevé en 1946 pour permettre le passage des navires à vapeur.

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Synthèse :

La construction du pont suspendu de sablons est confirmée par Premier pont de Tournon ou Pont d'Andance .
Construit sur des fonds privés pour un coût de 200 000 Francs or de l'époque, il était équipé d'un péage (d'une durée contractuelle de 61 ans), pour permettre son financement ainsi que son entretien. Sa construction dura alors 18 mois, en faisant face à de réelles difficultés dues à l'impétuosité du Rhône d'alors.

En 1933 il fut remplacé par un Nouveau pont suspendu de Sablons (1933-1944) .

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Synthèse :

Un pont de bois était en place au XIIIe siècle entre Beaucaire et Tarascon. Un pont de bateaux lui succède dès 1674. Ce pont fonctionnera jusqu’en 1830.

Il est remplacé par un pont suspendu de taille particulièrement impressionnante. La largeur du Rhône, à l'endroit où le pont est établi, est de 450 mètres ; cet espace est occupé par quatre travées formées au moyen de trois piles de suspension construites dans la rivière, et laissant entre elles deux grandes travées à chaînettes entières de 150 mètres chacune. Ce pont a été livré à la circulation le 14 octobre 1829. Il fut l'oeuvre conjointe de Jules Seguin et de Joseph Chaley , ce dernier allant s'illustrer particulièrement dans les années qui suivirent par la construction du pont de Fribourg (Suisse).

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Références :

Synthèse :

Le Pont suspendu de Fourques (département du Gard) sur le Petit Rhône est le dernier des huit ponts construits dans la vallée rhodanienne par Marc Seguin et freres pendant cette première période de 1825 à 1830. Selon (2), ce pont est constitué de 2 travées suspendues, pour une longueur totale du pont entre culées de 145m, et une largeur de tablier de 4m. Selon (3), des travaux de réfection sont entrepris par l'Entreprise Arnodin en 1931-1932 pour un montant de 104 479 Fr.

Synthèse :

Le pont de Langon sur la Garonne entre Marmande et Bordeaux, fut construit en 1831. Sa construction a fait l'objet d'une autorisation publiée dans le Bulletin de Lois du 19/10/1828. Il est alors constitué de 3 travées suspendues par chaînes, pour une longueur totale entre culées de 200m, et une largeur de tablier de 6m.

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Synthèse :

Le bac qui existait sur la Meuse au Petit Bois a été remplacé par un pont suspendu en 1833.

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Références :

Synthèse :

Les informations disponibles sur ce pont proviennent principalement de (1). (3) nous apprend que des travaux ont été effectués par l'Entreprise Arnodin en 1930 et 1933 pour des montants respectifs de 567 767 Fr et 5 467 Fr.

Synthèse :

Le 22/11/1832, une ordonnance du Roi (3) autorise la construction d'un pont suspendu sur la Dordogne à Castillon, dans l'arrondissement de Libourne. Selon (1), celui-ci fut ouvert en 1835.

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Synthèse :

Une première adjudication pour la construction d'un pont suspendu au lieudit le Mas des Georgets, à proximité de Rognonas, au service de la route d'Avignon à Tarascon, est approuvée en 1830 en faveur de Mignot frères . Mais celle-ci est résiliée le 22/3/1831, induisant une nouveau processus d'adjuducation, gagné par les sieurs Malboz & Terme , officialisé le 25/12/1832 par ordonnance royale. Ce pont fut construit de 1833 à 1835. Comme beaucoup de pont sur la Durance, il fut emporté par la crue de 1843, et rétabli peu après dans son état original.

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Synthèse :

L'ordonnance royale publiée le 4/6/1834, autorise la construction d'un pont suspendu à Serrières sur l'Ain, pour le service de la route royale N° 79 de Nevers à Genève, et confirme le bien-fondé de l'adjudication des travaux, passée le 22/1/1834 à Camille Paret . Ce pont comporte une seule arche pour une longueur totale entre culée de 68m et une largeur de tablier de 4.2m. La mise en service (date de début de la concession de 25 ans) eut lieu en Janvier 1835. Le pont suspendu a été noyé par la mise en eau du barrage d'Allement et remplacé en 1960 par l'ouvrage actuel à une arche unique de 122,5m.

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Synthèse :

La construction du pont sur le Rhône à St-Vallier est autorisée par le bulletin de lois du 21/6/1833. Il est constitué de 2 travées suspendues, pour une longueur totale de 182.8m, et fut livré le 8/8/1835; Son coût total est évalué en 1873 à 210 000 Fr.

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Synthèse :

L'adjudication passée le 28/1/1833 (2), en faveur du Sieur Debans, moyennant une concession de 99 ans, fut approuvée a posteriori par l'ordonnance royale du 5/4/1833. L'ouvrage (3) nous précise que le pont fut construit en 1836, et qu'il comporte deux travées suspendues par fils de fer, pour une longueur totale de 139.3m et une largeur de tablier de 4.6m.

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Synthèse :

Le premier pont suspendu, sur la Garonne en vis-à-vis du village de Saint-Laurent, fut construit entre 1835 et 1836. Un deuxième pont fut construit en 1899 à l' emplacement du précédent par l' entrepreneur Ferdinand Arnodin . En 1961, ce dernier fut interdit à la circulation, puis détruit et remplacé par un pont Bailey entre 1963 et 1968.

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Références :

Synthèse :

Le bulletin de Lois du 31/7/1834 autorise la construction d'un pont suspendu sur le Salat (1), au service du chemin vicinal n°2 et en remplacement du bac existant. Selon (2), ce pont fut mis en service le 1/2/1837, et la concession est censée se terminer le 31/1/1926, soit une durée de concession 90 ans. Le fonds d'archive Arnodin (3) permet de préciser qu'une réparation des amarrages des câbles eut lieu en 1884 pour une somme de 2733 Fr.

Synthèse :

Le projet de pont à Lézardrieux prend naissance dès 1833 pour remplacer le bac du Goélo, à l'initiative du Sieur Ozou. Finalement une ordonnance du Roi Louis -Philippe en date du 23 Mai 1836 autorise la construction du pont suspendu(2).
Le coût de l'ouvrage est évalué à 270 000 F; l'adjudication a lieu le 6 août 1836 et la concession est adjugée pour 26 ans à la société Seguin freres , associée au Sieur Ozou qui par la suite se sépareront.
Le 10 Août 1840 le pont est réceptionné et ouvert à la circulation.

En 1888-1889, une réfection des amarrages de la travée et l'addition de câbles obliques sont réalisées par l'Entreprise Arnodin pour un montant de 27 040 Fr selon (5).  En 1924 un concours est remporté par l'Entreprise Arnodin pour la reconstruction du pont.

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Synthèse :

Ce pont, comme son jumeau en aval du village de Revin, a été construit en 1840. Son tablier de 95 m de long est semble-t-il suspendu par chaîne,

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Synthèse :

Après la destruction du pont en 1835, un pont suspendu fut construit en 1840. Les épreuves de solidité du pont furent passées avec succès du 18 au 20/2/1840. Il est vraisemblable que sa mise en circulation fut immédiate après ces épreuves. Ce pont est constitué de 2 travées, pour une longueur totale entre culées de 75m, et une largeur de tablier de 5m.

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Synthèse :

Le pont de Vernéjoux sur la Dordogne est le trait d'union entre le Cantal et la Corrèze.
Construit en 1841, il se situait sur le chemin de grande communication d'Egleton à Murat. Il fut détruit deux fois, notamment lors des dernières guerres. Le pont actuel en est la troisième réplique. En 1884, l'Entreprise Arnodin assura une réfection des amarrages du pont suspendu pour un montant de 6.479 Fr, selon (2).
Ce site de Vernéjoux était très vivant au XIXème siècle, car on chargeait le charbon provenant de la mine sur les gabarres en direction de Bergerac ou Bordeaux.

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Synthèse :

La construction de ce pont suspendu est autorisé par l'ordonnance royale en date du 4/2/1840 (1). Sa mise en circulation du pont date de 08/1842. Il comporte une seule travée suspendue par fil de fer, de 119m de long pour une largeur de 4.3m.

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Synthèse :

Après la construction de deux ouvrages proches( les ponts de Premier pont suspendu de Mirabeau (1831) et de Pont de Trébaste à Chateau-Arnoux (1837)), débuta la construction d'un ouvrage délicat : le pont des Mées.
Hélas, terminé à la fin de 1842, il était renversé par la crue de 1843 au jour fixé pour son inauguration solennelle; il ne fut rebâti que de 1854 à 1857 et comporte une pile au milieu avec une longueur de 165 m.

Le détail complet de la construction des ponts des Mées est remarquablement présenté sur le site http://www.lesmees.org/livres/l1993.htm

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Synthèse :

Un pont suspendu à Saintes sur la Charente exista entre 1841 et 1875. La référence (7) nous précise effectivement qu'en 1841 le pont est en construction, mais celui-ci s'est écroulé dans cette même année et qu'il a été reconstruit en 1842. Finalement le pont est livré à la circulation en 1842. Ce pont est un pont suspendu à suspension en fil de fer d'une travée unique, de 60m de long pour une largeur de 8m

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Synthèse :

Informations extraites du site "Le pont de Tonnay-Charente en cartes postales" et du site wikipedia pour les informations historiques. Le pont de Tonnay-Charente sur la Charente a été inauguré en 1842 sur les plans de Louis DOR. Sa largeur est de 23 mètres et sa longueur de 623 mètres dont 90 mètres pour la plus longue travée. La première pierre fut posée le 18 février 1841. Après plusieurs années de service, le pont s'affaissait et il fut soumis à épreuve le 21 août 1883 qui fit lâcher le tablier. Suite aux travaux entrepris par l'Entreprise Arnodin , le 10 mars 1885 le pont fut réouvert à la circulation. En 1934, il fut décidé de doubler les capacités de résistance du pont. Aujourd'hui, le pont n'est plus ouvert à la circulation des voitures. On n'y circule plus qu'à pieds ou à deux roues.

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Synthèse :

Par suite de l'autorisation publiée par ordonnance royale du 8/3/1840, un pont suspendu fut établi sur la Garonne à Capens, au service du chemin de grande communication n°2, en remplacement du bac existant. L'adjudication pour la construction de ce pont eut lieu le 9/6/1840 associée à une concession de durée de 99 ans. Selon (5) la mise en circulation intervint le 17/9/1843.

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Synthèse :

Le pont suspendu du Teil construit en 1839 fut en partie détruit par les inondations de 1840. Il fut reconstruit, allongé et ouvert au public en 1843. L'entrée du pont est alors surmontée d'une statue de la Vierge, enlevée en 1908.

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Synthèse :

Un décret royal autorise la construction d'un pont suspendu sur la Garonne au lieu-dit Port-Bas, de Grenade à Ondes, le 22/3/1841, en remplacement du bac existant. Une subvention de 61000 Fr est accordée pour favoriser l'investissement. Sa mise en service eut lieu le 15/8/1843 selon (4). (3) indique un départ de concession en 1841, et une fin en théorique en 1918, soit 77 ans. Une reconstruction partielle fut engagée par l'Entreprise Arnodin en 1877, suite à l'inondation de 1875 - qui détruisit en grande partie le village d'Ondes.

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Synthèse :

Par suite de l'autorisation publiée par ordonnance royale du 27/4/1841, ce pont suspendu fut établi sur la Garonne en remplacement du bac existant, en face de Blagnac.
Ce pont ouvert au public le 28/3/1844 a été construit par J. Quenot, ingénieur civil à Paris, concessionnaire du pont jusqu'en 1878. Il est constitué d'une seule travée de 140 mètres. Son tablier en bois de 4,20 mètres de largeur, est établi à 8 mètres au-dessus de l'étiage.

Il résiste à la crue de 1875 et assurera son service jusqu'en 1923 où il sera substitué à un autre pont suspendu, de même longueur, mais soutenu par deux piles implantées dans le fleuve, il sera détruit en 1983.

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Synthèse :

L'ordonnance royale autorisant la construction d'un pont suspendu à Buzet sur le Tarn en remplacement du bac existant est publiée le 30/12/1838 (1). Léon Busquet est confirmé comme constructeur par (2). Sa livraison au public eut lieu le 19/3/1844, point de départ d'une concession et d'un péage supposés durer 39 ans.

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Synthèse :

Ce pont construit sur le Gardon, en remplacement du bac existant, dont la construction est autorisée le 13/11/1839, fait l'objet d'un deuxième arrêté le 10/2/1841 qui interdit tous les passages à gué en amont et en aval, sur une distance de 1200 mètres. Ce dernier arrêté réunit les conditions pour une adjudication fructueuse.Nous savons par ailleurs que le 19 Septembre 1843, une crue emporte les premiers ouvrages mis en place pour la construction du pont. Nous en déduisons que le pont fut mis en service dans l'année qui suivit. ce pont est constitué de 2 travées suspendues par fil de fer, pour un elongueur totale de 121.8m et une largeur de 3.8m.

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Synthèse :

La construction du pont suspendu à Viviers sur le Rhône est autorisée par le bulletin de lois du 10/7/1845. Ce pont est de construction mixte, suspendu en partie, fait de 7 travées ou arches, pour une longueur totale entre culées de 341.60m. Il fut mis en service le 13 Octobre 1845 - date de départ de la concession de 95 ans.

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Synthèse :

Le pont suspendu de Mallemort est dans un état de conservation tout à fait unique.

Le pont semble avoir été construit entre 1844 et 1848 sur ordonnance du roi Louis-Phillipe. Il a été ouvert le 20 Avril 1846 à la circulation. Long de 320 mètres, son tablier de bois fait 6,2 mètres de large. Il a été emporté une première fois par une crue en 1872, puis 1880, 1882, 1886. Pendant la guerre, en 1940, les bombes l'ont presque détruit.

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Synthèse :

Long de 200 mètres, le pont de Robinet fut achevé en 1847. Selon Premier pont suspendu du Pouzin et de Premier pont de Rochemaure , ce pont fut emporté par la crue exceptionnelle de Mai 1856, et par le Mistral en 1901-1902. Il fut bombardé et incendié par la Résistance en 1944. Reconstruit, il fut menacé de démolition et fermé à la circulation. Mais la détermination des Donzèrois pour «leur pont» permit sa réouverture en 1979. Le pont tient son nom d’un artisan tuilier installé près du Rhône, Robinet Berton figurant au cadastre de 1495.

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Références :

Synthèse :

L'autorisation de construction d'un pont suspendu au lieu-dit Saint-Projet entre les communes de Neuvic (en Correze) et Arches (en Cantal), en remplacement du bac de Saint-Projet, est obtenue suite à la publication du bulletin de lois du 1/4/1841 (1). L'ouvrage (2) nous précise que ce pont construit en 1847 est constitué d'une travée unique, suspendue par fil de fer, et présente une longueur entre culée de 74.5m, pour une largeur de tablier de 5m. Selon (3), une réfection des amarrages du pont suspendu fut réalisée par l'Entreprise Arnodin en 1883.

Synthèse :

La construction de ce pont suspendu est autorisée par l'ordonnance royale (1) du 12/8/1846. L'adjudication se fit le 17/10/1846 en faveur d'une compagnie fondée par Sieur Escarraguel freres . Le pont est alors constitué d'une arche unique de 96 mètres d'ouverture. La Société des nouveaux ponts réunis dirigée par Sieur Ferdinand Jean Bayard de la Vingtrie en prend le contrôle le 1/9/48.

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Synthèse :

La construction du pont suspendu sur la Dordogne, à Groléjac, au service de la route départementale n°13 de Périgueux à Mende, a été autorisée par le bulletin de lois du 7/9/1841 (1). Ce pont est constitué d’une travée unique de 150m, suspendue par chaîne pour une largeur de tablier de 4.4m. L’adjudication se fit en faveur de Sieurs Gabaud frères, moyennant une concession de 55 ans, confirmée par (6), et une subvention de 37819 Fr.

(4) nous indique que ce pont a été construit en 1842.

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Synthèse :

L'ordonnance royale autorisant la construction d'un pont suspendu à Lumes (Ardennes) sur la Meuse, en remplacement du bac existant, est datée du 28/3/1847(1). A l'adjudication, une concession d'exploitation et un péage sont associésà partir du 14/6/1849 (date vraisemblable de mise en circulation) jusqu'au 14/9/1929, soit une durée de concession de 80 ans.

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Références :

Synthèse :

Les informations disponibles sur ce pont proviennent principalement de (1). Toutefois (3) nous apprend que des travaux ont été effectués par l'Entreprise Arnodin en 1923 pour un montant de 12 229 Fr.

Références :

Synthèse :

Par suite de l'autorisation publiée par ordonnace royale du 6/8/1839, ce pont suspendu fut établi sur la Garonne au lieu dit de Fourq, en remplacement du bac existant. Il a subi avec succès les épreuves de charge de 50 tonnes, le 6/1/1851, en présence de l'Ingénieur de Saint-Gaudens. (2) nous apprend que des travaux ont été effectués par l'Entreprise Arnodin en 1934 pour un montant de 378 000 Fr.

Synthèse :

Il semble qu'après la destruction du pont en 1856, ce pont fut reconstruit en 1858. Il est toujours en place

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Synthèse :

Pont sur le Doux à Saint Jean de Muzols, à proximité de son embouchure, dont nous possédons le décret de construction ordonné par Charles X le 16/05/1827(voir Decret 16/05/1827 - Pont sur le Doux près de Tournon ). Ce document intéressant présente aussi le détail des conditions d'exploitation du pont et des péages fixés dès le 6 Janvier 1827.
L'investissement correspondant à la construction de ce pont est assuré par le sieur Blachier. En contrepartie, il bénéficie d'une concession et de droit à péage pour une durée de 99 ans. Selon (4) ce pont est constitué d'une travée unique d'un elongueur de 83.5m pour une largeur de tablier de 4.15m.
Les "Mémoires d'ardèche" (N°58 - mai 1998) nous apprenent que "Le pont a été enlevé en 1857 par une crue. Un second pont est alors construit en 1859, qui est aujourd'hui remplacé par un pont metallique dont les piles ont pu être correctement fondées grâce aux techniques modernes."

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Synthèse :

La demande de franchissement de la Loire au niveau de Confolent (à proximité de Beauzac) était rendue de plus en plus exigeante, notamment pour le transport de pierres en provenance de la carrière de Pont de Lignon, et le service du bac en place ne suffisait plus. En conséquence, la construction d'un pont suspendu au confluent de la Loire et du Lignon fut décidée le 22 mars 1862 par le Conseil Général du département.
Le pont fut construit en 8 mois, et mis en service dès janvier 1863 par le sieur Adolphe Boulland , moyennant une concession d'une durée de 27 ans et 11 mois et donc un péage pour cette même durée.
D'importants travaux furent nécessaire dès 1894. Après la rupture successive de deux câbles de suspension en 1913 et 1921 rendant l´ouvrage inutilisable, une revalorisation complète a été réalisée par l´Entreprise Arnodin en 1922.

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Références :

Synthèse :

Nous n'avons que peu d'éléments sur la construction du pont suspendu de St Julien sur la Garonne, hormis sa référence dans deux ouvrages datant respectivement de 1864 (1) et 1866(2), ce dernier indiquant une construction "récente". Toutefois l'Entreprise Arnodin y réalisa en 1886 des travaux de réféction des amarrages et la pose de câbles obliques (pour un montant de 21 377 Fr) selon (3), qui indique par ailleurs que le pont est constitué d'une seule travée de 110m.

Références :

Synthèse :

Les informations disponibles sur ce pont proviennent principalement de (1). En complément, selon (3), ce pont subit en 1887 une réfection des amarrages et addition de câbles obliques, effectuée par Entreprise Arnodin . Il était alors constitué de 2 travées de 105 m (montant des travaux 42.664 Fr).

Références :

Synthèse :

Ce pont metallique remplace le pont de bateaux en 1875. L'entreprise Arnodin y effectue des réparations en 1906 selon (4).

Synthèse :

Ce pont de 145.68 m de portée fut construit en 1874/1875 par Ferdinand Arnodin , tout juste après avoir quitté son rôle d'Inspecteur des Ponts à la Compagnie Seguin. Associée à cette construction une concession de 59 ans est mise en place (confirmée par (3)).  Il fut détruit par l'Armée française en Juin 1940. Sa reconstruction fut décidée le 12/7/1944.

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Références :

Synthèse :

La construction d'un pont suspendu sur l'Aude à Ventenac, au service des chemins vicinaux n° 3 et 5, fut autorisée par le décret du 28/6/1872(3). Selon (1), ce pont suspendu est constitué d'une travée de 60m et a été construit en 1877 par l'Entreprise Arnodin . L'adjudication fut approuvée le 27/3/1875 selon (2), associée à une durée de concession conduisant à une fin le 31/6/1976, soit une durée d'environ 101 ans.

Références :

Synthèse :

Selon (1), le pont suspendu de St Gilles sur le Petit Rhône, à la limite entre le département du Gard et celui des Bouches-du-Rhône, fut construit par l'Entreprise Arnodin en 1890 pour un montant de 125 000 Fr. Il est constitué de 2 travées pour un débouché total de 160,6m.

Synthèse :

Ce Pont sur le Rhône à hauteur de Privas a été construit de 1889 à 1891, par l'ingénieur Arnodin, comme le prouve la signature apposée sur le pont, ainsi que les données du Fonds d'Archives (1). Il est alors constitué de 3 travées dont celle centrale mesure 180 m, pour une longueur totale de 278 m. Certaines photos du site montre la présence d'un bac à traille. Une hypothèse ni confirmée ni infirmée est l'existence d'un pont ici-même mais antérieur à la construction actuelle. Ceci est à confirmer.

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Références :

Synthèse :

Informations extraites de (1).

Références :

Synthèse :

Selon (2), le pont suspendu de Chihani avec sa structure haubanée a été construit en 1892 par Entreprise Arnodin . Cette structure qui enjambe Oued Seybouse et relie la commune de Chihani avec celle d’Asfour, dans le wilaya de El Tarf est utilisée par les agriculteurs dans leurs déplacements quotidiens pour se rendre sur leurs terres agricoles. La longueur de son tablier est de 97,90 mètres. Selon (1), il a fait l'objet de travaux en 1906 par cette même compagnie.

Synthèse :

Selon (1), l'Entreprise Arnodin a effectué des trvaux de réfection en 1934 pour un montant de 26 280 Fr.

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Synthèse :

Le pont de Bizerte, construit de 1896 à 1898 par l'Pont transbordeur de Brest .

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Synthèse :

Le premier pont suspendu, sur la Garonne en vis-à-vis du village de Saint-Laurent, fut construit entre 1835 et 1836. Un deuxième pont fut construit en 1899 à l' emplacement du précédent par l' entrepreneur Ferdinand Arnodin . En 1961, ce dernier fut interdit à la circulation, puis détruit et remplacé par un pont Bailey entre 1963 et 1968.

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Synthèse :

Selon (1), complété par (2), le pont suspendu d'Aramon sur le Rhône, à la limite entre le département du Gard et celui des Bouches-du-Rhône, fut construit par l'Entreprise Arnodin en 1899/1900 pour un montant de 284 000 Fr pour le constructeur et 436 000 Fr pour l'administration. A l'époque de sa construction le pont bat un record de la plus longue travée jamais construite de 274.30, pour un débouché total de 368.6m, comme indiqué en (4). Il fut inauguré le 15/10/1900 selon (5).

Le document (3) précise que des câbles de contreventement sont ajoutés au tablier principal pour limiter l'amplitude des balancements du tablier quand le Mistral souffle.

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Synthèse :

Il y eu de nombreux projets pour tenter de franchir la Charente à hauteur de Rochefort, tout en répondant aux contraintes, notamment celui de permettre la navigation jusqu'au port de Rochefort qui revêtait des intérêts de stratégie militaire. Un pont suspendu fut par exemple projeté tel qu'indiqué par l'ordonnance du 24/8/1838. Mais ce projet ne vit pas le jour. C'est finalement Ferdinand Arnodin, qui après 10 de négociation engagée en 1888, put finalement commencer la construction d'un pont transbordeur autorisant le franchissement du fleuve sur une largeur de 140 m et avec une hauteur de tablier de 50m. Ce pont est toujours en place et entretenu grâce au soutien des associations locales et aussi des communes avoisinantes.

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Références :

Synthèse :

Informations issues de (1).

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Références :

Synthèse :

Inadapté aux conditions de circulation, l'ancien Pont suspendu de Montfrin fait l'objet d'une reconstruction décidée en 1903 ((4)), mais achevée vers 1907(5). Ce nouvel ouvrage, dont la construction est confiée à l'(1) comportera des pilônes métalliques substitués aux obélisques en maçonnerie, et le tablier sera plus large capable de 2 voies, avec des trottoirs pour les piétons pour un montant de 150 000 fr.

Synthèse :

Le pont de Bizerte, construit de 1896 à 1898 par l'Entreprise Arnodin , à l'entrée du canal maritime de ce port, présentait une portée de 109 mètres, et son tablier, situé à 44 mètres au dessus du plan d'eau, supportait une nacelle dont la charge était limitée à 80 tonnes. Mais en 1903 on décida de porter à 200 mètres la largeur du chenal , ce qui entraînait forcément sa suppression. Il fut ainsi déconstruit, et reconstruit en 1908 à Brest. Sa reconstruction durat 10 mois et les épreuves du pont reconstruit eurent lieu les 26 et 27 août 1908. Endommagé en 1944, il fut démonté en 1947.

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Références :

Synthèse :

Selon (1), pont de type Gisclard, construit par Ferdinand Arnodin et son entreprise vers 1912 sur la Luzège, après un marché en gré à gré de 314 525 Fr. Ce pont était originellement au service de la ligne ferroviaire du Transcorrézien et a été inauguré le 1^er août 1913 en présence de Raymond Poincaré.

Le site (2) propose un grand nombre d'illustrations bien intéressantes et autres informations sur ce pont.

Synthèse :

Le Pont des Andelys (en pierre) fut reconstruit une nouvelle fois, en 1914, par Ferdinand Arnodin sur la forme ancienne du pont suspendu tel que le montre la carte postale ci-dessous datant du début du XXème siécle. Il semble que ce pont fut le premier où Ferdinand Arnodin employa une technique réduisant à son minimum l'indisponibilité du passage.

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Références :

Synthèse :

Selon (1), cette passerelle fut l'objet de travaux par Ferdinand Arnodin en 1924

Synthèse :

D'après (4), un nouveau pont est établi par l'Entreprise Arnodin en 1924, pour un coût de 1 842 457 Fr.

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Synthèse :

 En 1924 un concours est remporté par l'Entreprise Arnodin pour la reconstruction du pont, pour un montant de 1 590 000 Fr selon (1). Celui-ci est construit tout en maintenant l'utilisation de l'ancien pont. Cet ouvrage est de type nouveau : un pont cantilever suspendu rigide, dérivé du pont Gisclard. L'ouvrage comporte 3 travées distinctes, dont la travée centrale a 112 mètres de portée et les deux autres 21, 37 m chacune seulement.

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Synthèse :

Selon (4), le pont Saint-Pierre fut reconstruit à partir de 1926, toujours suspendu, par l'Entreprise Arnodin , et fut vraisemblablement achevé vers 1927 pour un coût de 3 175 000 Fr.

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Synthèse :

Après de nombreuses péripeties, le projet de pont sur la Durance entre port Saint-Hubert et Port Saint-Jean voit le jour et il fut finalement inauguré le 11/8/1929. C'est l'oeuvre de Ferdinand Arnodin .

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Références :

Synthèse :

Selon (1), un pont suspendu fut construit par l'Entreprise Arnodin à Layrac sur le Tarn, en 1930 pour un montant de 1 740 000 fr.

Synthèse :

Après de nombreuses tentatives infructueuses, un pont suspendu sera finalement construit puis livré à la circulation en 1930 (à confirmer) par l'Entreprise Arnodin selon (5) après adjudication en 1927 pour un montant de 2 200 000 Fr.

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Références :

Synthèse :

Ce pont suspendu à double-voie sur l'Allier, remplace un pont construit en 1840. Construit par l'Entreprise Arnodin , il est constitué selon (2) de 3 travées de respectivement 64.27, 79.98, 67.57 m, pour une longueur totale de 211.82m et une largeur de 8m. Il est complété par un pont en béton armé pour assurer le franchissement complet de l'Allier. Il avait été adjugé pour 1.840.000 Fr selon (3).

Synthèse :

Le pont Bayet sur la Sioule fut construit en 1938 par l'Entreprise Arnodin . Il est alors constitué d'une poutre unique parabolique metallique, d'une longueur de 31.35m pour une largeur utile du tablier de 5m.

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