Présentation détaillée (partielle)
de la compagnie Jacques&Michel-A Tournier

Références :

Synthèse :

Le pont de Villersexel (Villers-Suxel) est mentionné en 1698, en tant que pont de bois, dans le mémoire (2) de l'intendant Harouys. Selon (1), le pont, au service de la route de Vesoul à Montbéliard, est toujours un pont de bois (4 travées et 3 palées) en 1789, date du rapport. Il est alors considéré en assez bon état. Il fut réparé en 1758 par Jacques Tournier, aux frais du Roi, puis en 1783 et 1789. Et il semble qu'il fut le théatre d'une dure bataille en 1871. Ces derniers faits méritent d'être précisés.

Références :

Synthèse :

Un pont de pierre sur l'Ognon à Voray est déjà indiqué en 1536 (une incendie y est notée), puis en 1698 dans le mémoire de M. d'Harouys. Selon (1), ce pont sur l'Ognon, au service de la route de Besançon à Vesoul, comporte 5 arches de pierre de 42,44 et 46 pieds, aux frais du baillage de Vesoul. Il fut construit en 1756, en pierre de Valleroy, par MM Jacques et Michel Antoine Tournier. Il est noté "en bon état" en 1789. Cette construction semble être une des plus prestigieuse de la région.

Références :

Synthèse :

Selon (1), c'est en 1750 que fut construit aux frais du Roi, ce pont sur la Saône. Il comporte 9 arches de respectivement 42,44,46,48 et 50 pieds (symétrique), et fut réalisé par les entrepreneurs Jacques et Michel-Antoine Tournier. Il est considéré en bon état en 1789.

Références :

Synthèse :

A son origine, il semble que ce pont fut au service d'une voie romaine sur lequel passa Jules César pour se rendre en Alsace. Le pont est mentionné en 1698 par (2) en tant que "pont de pierre". Selon (1), le pont de Voray sur l'Ognon a été construit en 1756 aux frais du Roi, au service de la route de Besançon à Vesoul. Il est constitué de 5 arches en pierre de respectivement 42,44, et 46 pieds. Il est alors considéré comme l'un des plus beaux ponts de Franche-Comté. En 1789 il apparaît en bon état.

Références :

Synthèse :

Le pont de Montbozon apparaît en 1602 lors du temps des archiducs Albert et Isabelle (1598-1633). Il est aussi mentionné en 1698, en tant que pont de pierre, dans le mémoire (2) de l'intendant Harouys. Selon (1), le pont, au service de la route de Besançon à la Lorraine par Lure, est en bois en 1756, année où il fut rétabli. Il fut construit en 1767 par Michel-Antoine Tournier. Il comporte alors 3 arches de 48 et 51 pieds. Il est considéré en bon état en 1789. Et il semble qu'il fut détruit en 1871. Ces derniers faits méritent d'être précisés.

Références :

Synthèse :

Selon (1), un ancien pont au service de la route de Belfort à Besançon avait été achevé en 1712 par Nicolas Pierrot, mais il fut renversé en 1734. Un nouveau fut reconstruit par Pierre François Chalandre en 1736 sans plus de succès. Finalement c'est en 1771 que fut construit aux frais du Roi, ce pont sur l'Ognon, pour un coût de 35 965 livres. Il comporte 3 arches de respectivement 30, 32 et 30 pieds, et fut réalisé par l'entrepreneur Jacques et Michel-Antoine Tournier. Il est considéré en très bon état en 1789.

Synthèse :

Extrait : "Le pont du Roubion, à Montélimar, est construit dans le genre et d'après les dimensions de celui de Livron; il est même réputé supérieur sous le rapport de l'art et des matériaux. Les fondations en avaient été commencées avant la révolution, par les soins de MM. de Marmillod et Rolland, successivement ingénieurs en chef à Grenoble et sous la conduite de M. de Montluisant. Ils furent suspendus pendant la révolution, mais le gouvernement impérial les fit reprendre, et le pont fut livré au public en 1806. M. Lesage était alors ingénieur en chef du département, et M. Epailly, ingénieur ordinaire".

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