Présentation détaillée (partielle)
de la compagnie Compagnie non identifiée

Synthèse :

La construction de ce pont en pierre, sur le Vidourle, est entreprise sous Tibère dans les années 19 à 31 après Jésus-Christ, au service de la route de Nîmes à Lodève. Il est alors constitué de 17 arches dont la plus grande mesure 9.75 m d'ouverture (1 arche de 9,75m, 12 arches de 9,10m, 2 de 6,75m, 2 de 4,85m) et mesure 189 mètres. Il est toutefois largement remanié, puisqu'en 1842, il n'en reste que 8 entre la ville et le faubourg. IL semble que les principales restauration ont été menées en 1716.

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Synthèse :

Informations issues des procès-verbaux de l'Académie des sciences - Besançon - 1850 - séances des 28/1 et 24/8/1850.

Jadis une voie romaine traversait Besançon, en ligne droite, du pont de Battant (ou Pont Battant), à la Porte-Noire. A priori, le pont de Battant n'a pas été conçu comme une oeuvre d'art mais comme une utilité, fort irrégulière dans sa structure, composée originellement de 7 arches, de 5 en 1789, et dont 4 était visibles seulement en 1850. Les 3 autres forment une partie de la Grande-Rue. Le matériau utilisé était toutefois de grande qualité, notamment le pavé était constitué de pierres de taille de 2 mètres de long, de 70 à 80 cm de large, et de 35 à 40 cm d'épaisseur ! La largeur entre les bordure des trottoirs était d'environ 6 mètres.

Synthèse :

Le premier pont sur le Doubs à Pontarlier est d'époque romaine. Il semble même qu'il ait donnée son nom à la ville puisqu'il aurait été construit par Aelius-Adrianus vers l'an 120. Ce pont est appelé Pont Saint-Eloy et il est composé de 4 arches inégales de respectivement 12,22,19,19 pieds. Les travaux prévus par Querret en 1753 seront finalement réalisés vers 1789.Tant son état que sa très faible largeur imposent vers 1806 la construction d'un nouveau pont, pont existant aujourd'hui et dénommé Pont des Chèvres.

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Références :

Synthèse :

Le pont de bateaux fut, à Arles, pendant longtemps, le seul moyen de franchir le Rhône. Ce pont fut partiellement emporté le 21 Mai 1856, lors de la crue extraordinaire du Rhône et de ses affluents. Il fut rompu aussi le 10 Septembre 1857, en conséquence d'une crue particulièrement violente de l'Ardèche. Ce pont de bateaux ne fut remplacé qu'en 1875 par un pont fixe (métallique).

Synthèse :

Ce pont de Nau, situé sur le Nau au centre de Châlons est déjà présent au Vème siècle : il formait la limite est du cadastre romain. Un nouveau pont de Nau fut construit en 1829 dans l'alignement de la rue de la Marne.
Le Nau fut partiellement couvert entre le pont des Archers et le pont de Nau en 1862, pour former la rue Lochet. Ainsi, à cette date, le pont de Nau, situé à une extrémité, devint un demi-pont.

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Synthèse :

Certains pensent que l'origine de la chaussée Barbin, sur l'Erdre, remonte au temps des Romains, d'autres pensent que celle-ci fut construite à l'initiative de St-Félix, Évêque de Nantes au VIème siècle. Il n'en demeure pas moins vrai que l'origine de cette chaussée date de nombreux siècles. Sa création vient sans doute d'une gué, progressivement érigé en chaussée, pour garder plus d'eau à l'étang qui alimentait les moulins en aval, propriété des Évêques de Nantes jusqu'en 1752. La chaussée dut être reconstruite un première fois en 1774, pour porter la route de Rennes à Nantes, selon les plans de M. Ceineray.

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Synthèse :

Le nom initial du pont était le pont du Port Communneau, et son origine semble remonter aux travaux de l'évêque St Felix au milieu du VIème siècle. Il était alors construit de bois. Nous n'avons pas trouver trace d'une reconstruction du pont en profondeur, avant celle de sa reconstruction en 1863, suite au décret impérial en autorisant sa construction le 25/8/1861.

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Références :

Synthèse :

Synthèse :

Au pont de l'Arche, en 1841, la Seine était constituée de 3 bras, l'un d'eux étant canalisé pour le passage des bateaux. L'édification du pont semble remonter au IXème siècle (XIV et XVème siècle selon d'autres sources), et en 1841, un pont de 22 arches permettait d'enjamber les trois bras. Il s'effondra en 1856 et fut remplacé par un nouveau pont en 1858.

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Synthèse :

La ville de Louviers sur l'Eure offre de nombreux passages sur l'Eure, mais le pont des 4 Moulins, situé en plein centre de la Ville est certainement l'un des plus vieux. Selon l'ouvrage ci-dessus, sa construction semble dater du Xème siècle. Il portait alors 4 moulins à eau mais en 1740, seul le grand moulin subsistait.

Ce pont semble avoir été remplacé par un nouvel ouvrage en 1906.

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Synthèse :

Le premier pont de pierre à Pontoise, sur l'Oise fut bâti peu de temps après le baptême par l'Archevêque de Rouen, du chef des Normands, Rollon en 912. Situé vis à vis de la Citadelle, il comportait 12 arches. Son entrée, sur la rive gauche était coupée par un pont levis et défendue par une énorme bâtisse. L'autre entrée était flanquée de deux tours de défense. Vers 1600, le pont de l'Oise portait six établissements de boucherie, affermés au nom de la ville, et cinq autres maisons à son extrémité. Il portait aussi 3 moulins !
Ce pont fut détruit en 1680.

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Synthèse :

Ce pont est construit à l'Ouest de Poitiers sur la Boivre. Il était déjà présent en 997. Il est muni d'une porte fortifée dont les côtés subsistent encore en 1851.

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Synthèse :

Le Petit-Pont à Meulan, aussi appelé Pont aux Perches, fut construit sur un bras de Seine, à l’initiative de Robert 1^er, entre 981 et 997, originellement pour permettre d’arriver plus commodément à l’église de l’Isle du Long-Boël (Ile du Long Boyau – appelée plus tard Ile du Fort), où est la relique de Saint-Nigaise (ou Saint-Nicaise).

Il s’agissait d’abord d’un pont de bois mobile.

Ce même Robert 1^er tirant profit du mariage de son fils avec la fille du comte de Vexin, fit alors construire un véritable pont de pierre, de 13 arches à double cintre, ouvrage remarquable pour l’époque. A chaque extrémité, pour des raisons de sécurité, un pont mobile, jeté sur un large fossé, demeurait. L’accès était aussi défendu par une grosse tour.

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Synthèse :

Le vieux pont Saint-Laurent franchit la Saône entre la ville de Mâcon et Saint-Laurent sur Saône situé sur l'autre berge, dans le département de l'Ain. Son établissement ne serait pas antérieur au XIème siècle. Il comporte, depuis 1550 semble-t-il, 12 arches. Il fût donc fortifié au XVIe siècle, puis refait en 1772 et en 1843.

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Synthèse :

Les grands ponts, situés en plein centre d'Angers, sur la Maine, étaient initialement au nombre de deux, le "Grand pont" et le "Petit Pont". Ce dernier permet alors de relier l'île de la Savatte à la Doutre. Le Grand Pont qui s'appela aussi "Pont du centre" et s'appelle désormais "Pont de Verdun", fut construit au Xième siècle par Foulque Nerra, comte d'Anjou. Il supporte alors plusieurs maisons et moulins. Le premier pont fut construit en bois. En 1576, alors bâti en pierre, les arches du pont sont enlevées par une crue. Ils furent refaits en l'an 1615. Il fut finalement très largement rénové en 1848 par l'ingénieur Dupuit.

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Synthèse :

Le pont de Beaumont sur Oise était initialement la propriété du Comte de Ponti vers 1730. Ce pont supportait alors 4 moulins. Malgré son mauvais état, ce dernier décida de ne procéder qu’à une reconstruction de 3 arches en ruine. Les travaux furent exécutés en 1735. Au début XIXème siècle, ce pont est constitué de 5 arches de 8.3 à 20.5m d'ouverture, pour une longueur totale de 65.8m pour une largeur de 8.4m.

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Références :

Synthèse :

Le vieux pont de Blois, vraisemblablement du XIème siècle, est composé de 20 arches, inégales, en ogive, en plein cintre, en arc de cercle… Deux portes flanquées de tours contrôlent son entrée. Le pont supporte aussi une chapelle, neuf maisons, 5 moulins royaux obstruant les arches, inégalement répartis sur sa longueur.
En 1715, le pont de Blois est en reconstruction sous la conduite de Jean-Baptiste de Regemorte (1718)et change d’entrepreneurs. Les sieurs Dupuy et Lambot se substituent au défunt Sieur Leduc.
Mais en Février 1716 13 arches (celles où étaient les moulins) cèdent à la débâcle.

D'autres détails sont disponibles en découvrant : Les ponts de la Loire de Serge Vannier - Editions CPE

Synthèse :

Les origines du pont de Cognac, sur la Charente, au service de la route nationale N° 141 de Clermont à Saintes sont très anciennes. Ce pont était constitué de 11 arches, irrégulières de taille et de forme. Réparé à diverses époques, son état n'est pas satisfaisant et son faible débouché augmente le risque d'inondation en amont, et rend la navigation sur la Charente très difficile, l'arche la plus large n'ayant que 7m37 d'ouverture. Par ailleurs la largeur du pont de 5.2 mètre est largement insuffisante pour répondre aux besoins de la ville. Un projet de nouveau pont voit le jour en 1848.

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Références :

Synthèse :

La construction du Vieux Pont d'Espalion sur le Lot, semble dater du XIème siècle. Mais au XIXème siècle, il ne suffit plus et le bulletin royal du 20/7/1840, autorise sa reconstruction (en fait la construction d'un nouveau pont) au service de la route de Rodez à Faint-Flour.

Synthèse :

A proximité de ce pont, à Vançay (ancien nom de St Avertin), passait l’ancienne voie romaine de Coesarodunum (Tours) au Castellum Luce (Loches). On ignore la date de construction du pont de St-Avertin, mais celle-ci doit être antérieure à celle du vieux pont de Tours, soit antérieur au XIème sicèle. Ce pont, au service de l’ancienne route d’Espagne s’est écroulé vers 1820 (à confirmer).Le pont a été reconstruit (sommairement) vers 1830.

Ref : Guide pittoresque du voyageur en France

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Synthèse :

Le pont de Villeneuve sur Yonne, propriété du Roi, (anciennement Villeneuve-le-roi) est constituée d'une première partie composée de 11 arches du XIème siècle qui subsiste, semble-t-il, encore, et d'une autre partie qui date du XIIIème. Cette dernière, qui était constituée de 7 arches fut partiellement emportée en Mai 1725. Le projet de reconstruire 4 anciennes arches en 3 nouvelles fut présenté par Boffrand. Ainsi constitué des 3 arches anciennes et des 3 nouvelles, ce pont subsistera avec des réparations jusqu’en 1848 où la vielle arche se disloqua. Les 3 vielle arches furent alors remplacée par une seule de 34 mètres d’ouverture en 1851.

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Synthèse :

Le pont des Sept moulins était situé sur le Nau au centre de Châlons, et portait 7 moulins. Leur présence est déjà mentionnée en 1028. Sa construction est donc antérieure. Grâce au canal de Louis XII situé en amont, les eaux de la Marne venaient s'ajouter à celle du Nau pour animer les moulins. Toutefois, ils manquaient souvent d'eau, et tombèrent progressivement en délabrement et ils furent vendus en l'an IV (1795) pour être démolis en échange de la construction d'un nouveau moulin sur le pont des Mariniers (celui-ci ne fonctionna qu'en l'an XI (1802). Ainsi le pont disparut vers 1795.

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Synthèse :

Situé en face de l'église Saint Nizier, le pont du Change (aussi appelé pont de pierre) est un peu le pont oublié de Lyon. Il joua effectivement un rôle important dans l'histoire de Lyon, permettant des échanges faciles entre les deux rives de la Saône, entre la Croix-Rousse et Fourvière dès le XIème siècle. Il fut remplacé en 1845 par un pont plus haut , sis accolé en amont du précédent, compatible avec la navigation d'alors sur la Saône. Devenu lui-même gênant, les services de la navigation obtinrent sa destruction en 1974.

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Synthèse :

La construction du pont d'Albi sur le Tarn est vraisemblablement antérieure au XIIème. En Novembre 1609, la crue fut telle, qu'une des idées des villageois fut de lester le pont par tout le fer que le village et ses environs possédaient. Plus tard en 1766, les arches et les piles du pont ont été fortement endommagées par une crue et la quantité d'arbres que l'eau charriait, et il fallut détruire le parapet pour diminuer la résistance au passage de l'eau.

Il est constitué au début du XIXème siècle de 9 arches en ogive en moellons de 5.2 à 15m d'ouverture, pour une longueur totale de 103m, et une largeur de 5m. 

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Synthèse :

Le pont roman de Beaumont-sur-Sarthe, sur la Sarthe, semble avoir été construit entre les Xème et XIIème siècles, et d’abord en charpente. Constitué plus tard de 5 arches, il a été miné par les Allemands en 1944, puis fut restauré vers les années 2000.

Synthèse :

Situé sur le petit bras de la Seine, le "Pont-aux-Fruits", daterait du Moyen-Age.
Il tombe en ruine dès la Révolution.
Un pont en pierre est en service avant 1857, date de rédaction du document anglais en référence.
Il est détruit en 1944 au cours des bombardements.

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Synthèse :

Dès le XIIème siècle, un pont de pierre, regardé comme une construction merveilleuse, avait été fondé à Rouen. En 1296 comme en 1505 et en 1553, la crue endommagea ce pont. Mais la crue de février 1564 fut telle qu'elle emporta 3 arches du pont. Sa déterioration fut telle qu'en 1626, on fut obligé de ne plus y passer dessus. Décision fut prise en 1630, de mettre en place le Pont de Bateaux.
En 1831, le vieux Pont de Bateaux, datant de 1630 mais reconstruit en 1710 par Frère Nicolas (Moine ingénieur augustin) entre la rue Grand Pont et la rue du Bac était devenu très dangereux. Le pont de bateau est détruit le 1° Septembre 1836.

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Synthèse :

Le pont Pannecau a une histoire bien longue. Etabli sur la Nive à Bayonne, un peu en amont du Pont Mayou, il fut établi selon (1) pendant la période domination anglaise de Bayonne (vraisemblablement au XIIème siècle). Il prend plusieurs appellations : Panecau, Parregault, Bertaco ... Plus petit que le pont Mayou, il est aussi en bois, jusqu'au milieu du XIXème. Il est établi en face du Chateau Neuf, dans le Petit Bayonne, chateau constitué de 10 grosses tours rondes qui défend l'une des portes de la ville de Bayonne. Il est dit que les femmes querelleuses étaient enfermées dans une cage de fer, exposées plusieurs heures sur le pont Pannecau, avant de les plonger à 3 reprises dans la Nive !

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Synthèse :

Informations issues de "Etudes Historiques sur l’administration des voies publiques en France aux dix-septième et dix-huitième siècles" par JM. Vignon – Ingénieur en Chef des Ponts et Chaussées - Dunod Editeur – Paris - 1862.
XVIII p64.

L'ouvrage ci-dessus indique que pour les mêmes causes qu’Amboise - à savoir la débâcle des glaces en Février 1709 - plusieurs arches du pont de Beaugency furent détruites.
Le vieux pont se composait alors d’une trentaine d’arches, la plupart en ogive. Il avait subit de nombreux désastres et réparations. Au commencement du XVIII, alors que l’on reconstruisait les 7 arches de la rive gauche presque entièrement ruinées, la crue de Novembre 1710 les renversa de nouveau en laissant debout seulement l’une d’entre elles, à 25 toises environ de la rive.

Plus de détails sont disponibles en découvrant : Les ponts de la Loire de Serge Vannier - Editions CPE

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Synthèse :

Un premier pont est établi à Joigny vers le XII ou XIIIème siècle, et appartenait au roi. Il est alors constitué de 10 arches. Le 25 Mai 1725, 3 arches du pont s’ecroulent ; et le 11/12/1725 on ordonne la reconstruction de cette partie.
En 1726, les 3 nouvelles arches sont construites par Boffrand, en plein ceintre, de 29 à 36 pieds d’ouverture. Mais les 7 autres furent substituées par 4 nouvelles, de 10 à 8,5 toises d’ouverture, selon un arrêt du conseil de 20/1/1756. La réception en fut faite par Perronet le 15/7/1765.

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Synthèse :

Cette histoire proprement captivante permet de correctement apprécier la difficulté de construire un pont solide sur le Rhône et pourtant l'acharnement qu'y ont mis les hommes pour en disposer. On comprendra alors mieux l'apport de la technologie des ponts suspendus apportée par Marc Seguin.
Débutée vers le début du XIIème siècle, cette histoire est proprement captivante - A vous de juger. Si précaire que fût le passage, il reliait le Dauphiné à la France; il permettait l'accès à la grande route vers l'Italie. La prospérité de Lyon en dépendait.

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Synthèse :

Situé sur le grand bras de la Seine, le "Pont-aux-Moulins", bâti au XIIème siècle, porte déjà des moulins au XIIIème siècle.
En 1814, le service du Génie fait sauter une pile pour protéger la retraite des armées françaises. Une travée comble la brèche et les arches sont renforcées à l'aide de cintres en bois en 1821.
En 1830, les glaces provoquent la rupture du pont. Un pont suspendu est mis en service en 1837.

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Synthèse :

Ce pont est constitué de 3 arches dont la longueur de l'arche centrale dépasse 20 mètres.La construction de ce pont date vraisemblablement du XIIème siècle et fut ainsi le premier pont de Mende.

A l’origine, Pont Peyrenc, il devint le Pont Notre Dame pour la vierge située sur son avant-bec.

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Références :

Synthèse :

Selon l'ouvrage ci-dessus, les ponts de Montereau sur l'Yonne et la Seine datent du XII ou XIIIème siècle.

Références :

Synthèse :

Selon l'ouvrage ci-dessus, les ponts de Montereau sur l'Yonne et la Seine datent du XII ou XIIIème siècle.
Le 28/6/1723, un arrêt du conseil d’état est publié pour reconstruire ces ponts, avec établissement préalable d’un pont en bois qui devaient successivement servir à la reconstruction du pont sur l’Yonne et puis sur la Seine.
Malgré des obstacles, il semble que le pont sur l’Yonne fut restauré (avec une mise en service postérieure à 1732, estimée à 1740) et en fonction jusqu’en 1849.

Synthèse :

Le vieux pont de Moret repose sur des arches construites au XIIème siècle. Un projet de pont fut établi par Jean-Rodolphe Perronet en 1771 mais semble ne pas avoir abouti. Et pourtant ce projet était très détaillé : 3 arches de 78 pieds (25.34m) d'ouverture, en arc de cercle, une largeur de 39 pieds (12.67m). Le pont fut consolidé et élargi en 1852. Détruit le 24 août 1944, il fut reconstruit après la guerre puis consolidé en 1993. Le pont fut l'objet d'une peinture célèbre d'Alfred Sisley en 1893 (voir-ci-contre).

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Références :

Synthèse :

Il fait mention dans l'ouvrage ci-dessus de réparation en 1714 sur le pont de Pontigny.

Synthèse :

L'histoire de ce pont est bien originale, puisqu'on le doit aux frères pontifes de Saint-Benezet, qui construisirent le pont Saint-Benezet d'Avignon sur le Rhône, au XIIème siècle. Ce pont sur la Bienne est décrit ayant 1 arche en pierre de 72 pieds pour 18 pieds 6 pouces de large. En 1784, il fut réparé aux frais du Roi. En 1789, il est considéré en bon état.

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Synthèse :

L'histoire des ponts d'Avignon et du Faubourg à St-Claude est, d'après (1), bien originale, puisqu'on les doit aux frères pontifes de Saint-Benezet, qui construisirent le pont Saint-Benezet d'Avignon sur le Rhône. En effet, les ouvriers de cette congrégation furent appelés par l'Abbé de Saint-Claude, pour y construire deux ponts sur la Bienne, l'un à une lieue environ au dessous de la ville et l'autre au-dessus(celui objet de cette page).
(Il nous reste une enigme, car ce texte indique que les ponts sont construits sur la Bienne, alors que le pont du Faubourg est construit sur la Tacon -> ceci reste à élucider)
Afin d'être plus à portée de l'emplacement de ce dernier, ils se logèrent sur le penchant de la montagne qui domine Saint-Claude à l'Ouest, et c'est de là que ce massif prit le nom d'Avignonnais. Après la construction, on leur permit de s'établir sur le plateau au-dessus dans un village qu'on appelle Avignon !

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Références :

Synthèse :

Selon le document en référence, cet ouvrage était en fait constitué de deux parties. Un premier pont reliant Vernon à une île sur la Seine, comptait 10 arches inégales de 6 à 11 m. Un deuxième pont de 222 m de long reliait cette même île à Veronnet. L'étroitesse de ses arches rendait le passage fluvial délicat.
En Janvier 1651, plusieurs arches du pont tombèrent dons l'arche principale appelée "Arche de la Bidaude".
Une illustration de ce pont est disponible sur le site de Cibermuse.
Ce passage fut remplacé par un nouveau pont en 1861.

Références :

Synthèse :

La première pierre du pont Majour sur la Nive à Bayonne semble avoir été posée vers 1140, selon (1), et ce pont semble ne jamais avoir "défailli", sauf en 1677 où il fut emporté par la crue de la Nive, comme le Pont Pannecau - Bayonne . Il est mentionné dans de nombreux ouvrages relatifs à Bayonne. On note toutefois que une première reconstruction est engagée pendant la période Napoléonienne, décision prise en 1808.

Synthèse :

La première pierre du pont St Esprit, qui relie Bayonne au Faubourg (du) Saint-Esprit semble avoir été posée selon (1) en 1149. Le 25 Janvier 1701, le lendemain de la visite du Roi d'Espagne Philippe V d'Espagne, le pont fut rompu par une crue extraordinaire qui emporta plus de la moitié des piles. Ce pont de bois qui fait 259 m, ne résistera pas à la formidable crue du 4 Avril 1770.
Dès 1778, il est reconstruit "fort grand". Il compte en effet 32 arches, dont deux en maçonnerie. Mais le 27 Décembre 1791, les eaux très grossies détachèrent un vaisseau de son point d'attache. Le vaisseau mis en dérive alla heurter violemment le pont. Dans un bruit effroyable, 19 des 32 arches furent emportées entières et simultanément !

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Synthèse :

Il semble qu'un premier pont dit Pont des Nonnains, fut construit par Henri II de Plantagenet, roi d'Angleterre, au 2ème quart du 12ème siècle. Ce pont était situé plutôt au Sud, vers l'extrémité du faubourg St-Jacques.
Ce pont porte beaucoup de noms (Pont de l'Annone, de l'Annonain, ou de la Nonnain) car son péage appartenait aux nonnains de Fontevrault - il était destiné à faciliter l'approvisionnement de la ville. Ce pont portait aussi le nom de Pont du Diable, sans doute à cause de sa longueur et sa situation au midi, et aussi par sa construction lui en était attribuée.
C'est ce pont qui est mentionné dans l'oeuvre de Rabelais ("Des Songes drôlatiques de Pantagruel").
Un bout de tapisserie conservé aux archives d'Orléans au XIXème montrait Charles VII et Jeanne d'Arc ensemble sur le pont de Chinon !

Selon (2) ce pont fut le seul pont de pierre en service sur la Vienne au XVIIIème siècle, (celui de l'Ile-Bouchard était alors hors service).Selon (4), ce pont est détruit peu de temps avant 1821 (ses restes en alors encore visibles).

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Synthèse :

Le grand pont à Meulan sur la Seine, fut construit un peu plus tardivement que le Petit Pont, entre 1146 et 1150, sous l’initiative de la femme de Galeran II, comte de Meulan, alors parti aux Croisades.

Cet ouvrage exceptionnel comportait 13 arches, soutenu par 24 piliers, et permetat le franchissement de la Seine à cet endroit large de plus de 150m, et dont la profondeur pouvait atteindre 10m. La mise en place de ce pont eut un impact certain sur le rayonnement commercial de Meulan, en facilitant le commerce avec le Vexin.

Les guerres de religion, en 1573, le siège de Meulan par l’armée de la Ligue en 1589, la crainte en 1636 de l’invasion autrichienne, ou en 1651, les guerres de la Fronde (deux arches du petit pont furent rompues), nécessitèrent le décintrement de plusieurs arches de ces ponts, puis leur reconstruction, ce qui fragilisa fortement l'ouvrage.

En 1695, deux arches du Grand-Pont s'écroulèrent. L’état de délabrement allant croissant, les Ponts et Chaussées décidérent en 1749 la démolition complète de 3 arches du grand pont.

Bientôt le Grand-Pont ne fut accessible qu’aux piétons et bêtes de somme. En 1757, le sieur Aubé obtient la possibilité de reconstruire à ses frais les ponts, en contre-partie d'un péage pour une durée de 50 ans.

En 1842, la construction de deux grandes arches au pont de Meulan, vraisemblablement en remplacement de 3 anciennes.

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Synthèse :

La construction de ce pont semble antérieure à 1156, dans la mesure où un péage est déjà mis en place à cette date. L'appelation "Pont-Vieux" est déjà présente en début du XIVème siècle

2 arches de ce vieux pont à Millau sur le Tarn subsistent encore, ainsi qu'un moulin.

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Synthèse :

Un pont fut construit en 1160 sur l'ordre de Henri II Plantagenêt, roi d'Angleterre. Ce pont médiéval se situait dans l'axe de la rue du Pont et non comme le pont actuel, dans celui de la rue des Déportés, ex rue des Fossés. On peut en voir les infrastructures en période d'étiage. Ce pont avait 15 arches et mesurait près de 229 mètres. Ses extrémités étaient plus basses que le centre, les voituriers arrivant d'un côté et de l'autre ne pouvaient se voir, ni se croiser, ce qui entraînait fréquemment incidents et accidents. Des modifications nombreuses furent apportées au pont au cours des siècles. Un moulin a remplacé la tour-porte. Il fonctionnait encore vers 1850. Certaines arches ont un profil roman, d'autres gothiques et leur largeur est variable. Ce pont a souffert des outrages du temps, surtout des violentes crues. Le pont actuel a été construit vers 1900.

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Références :

Synthèse :

L'ouvrage ci-dessus précise que la construction du pont d'Avignon fut réalisée de 1177 à 1185 par Saint Benezet, moine pontife. Il reliait la porte d'Avignon à celle de Villeneuve et était constitué de 19 arches. Sa longueur dépassait les 300 pas. Seules les deux dernières arches étaient au Pape, les autres étaient la propriété du Roi!
En 1644,il est écrit que "Il seroit plus à priser que celui du Saint-Esprit, si les trois arches qui sont tombées depuis quelques années du costé de la ville et la quatrième du costé de Villeneuve, ne le privoient de cette gloire par ses ruines". En 1669, une crue du Rhône emporta quelques arches, et le pont resta dans cet état de ruine proche que celui que nous connaissaons aujourd'hui.

Synthèse :

Ce pont permet la liaison entre le bourg de Pont d'Arches et Mézières. Son histoire est très ancienne et vraisemblablement antérieure au milieu du XIIIème siècle. En 1873, ce pont est constitué de 6 arches, pour une longueur totale de 84.5m.

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Synthèse :

Une première mention du pont de Sens indique que ce pont date vraisemblablement du XII ou XIIIème siècle. Sa reconstruction est réalisée de 1739 à 1742, par Boffrand assisté de Clinchamp. L’ancien pont de 7 arches est remplacé par un pont de 3 arches. Il s'appelle alors Grand Pont et désormais Pont d'Yonne.

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Références :

Synthèse :

Synthèse :

(Pont portant probablement le nom de PontCher). Ce pont vraisemblablement construit au 12ème siècle est établi à la périphérie de Tours sur la route nationale N° 10 reliant Tours à Chinon. Il subit de nombreux travaux. En 1846 des projets de reconstruction sont échafaudés. En 1850 est publié une ordonnance autorisant sa reconstruction.

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Synthèse :

Aixe-sur-Vienne est situé au confluent de la Vienne et de l'Aixette. C'est un double-pont qui permet de relier Bourg-Neuf à Outre-Vienne, les deux faubourgs d'Aixe.
"Entre les deux ponts, une porte surmontée d'une tour commandait le passage."
"Le pont sur la Vienne est composé de 7 arches. Sa physionomie était jadis celle des Pont Saint-Etienne à Limoges et Pont Saint-Martial à Limoges de Limoges. Elle changea lorsqu'il fut élargi par les arceaux qui en masquent les deux faces. Le contre en ogive paraît néanmoins au-dessous des arcades."
Nous faisons donc la supposition que ce dernier date de la même époque, dans tous les cas antérieur à 1529, date d'une crue où nous savons que les eaux de la Vienne s'élevèrent à plus d'une toise au-dessus du pont.

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Synthèse :

Depuis la préhistoire le gué de “Mauvais pas” permet de franchir la Durance. Plusieurs ouvrages se succèdent à cet emplacement jusqu'en 1688, où l'Assemblée des pays de Provence demande au roi de reconstruire le pont de Bonpas en se servant des anciennes piles encore existantes.

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Références :

Synthèse :

Le pont Neuf est en projet dès 1251, et ses piles sont construites avant 1271. Elles reçoivent un tablier de bois. En 1291, la construction des arches et du tablier est achevée. Le pont est équipé de deux tours vers la fin du 13e siècle ou au début du 14e siècle, qui furent démolies en 1816. Le pont Neuf fut lui-même détruit en 1906-1907, en dépit d'un large mouvement de protestation.

Références :

Synthèse :

L'histoire du pont de Hennebont sur le Blavet est intimement liée à la ville elle-même, puisque son nom signifie "Vieux Pont" en breton. On trouve trace de l'histoire de ce pont dès 1264 (1). Par contre en 1829, ce dernier est indiqué "à reconstruire" dans (2). Vers 1838, un pont suspendu est mis en place à cet emplacement.

Références :

Synthèse :

Le vieux pont de Jargeau était constitué de 19 arches inégales, d’age différent, dont les plus anciennes en ogive.
6 de ces arches s’écroulent en 1709. Un dispositif temporaire s’appuyant sur les piles restantes également réparties permet de le faire tenir.
La crue de mai 1733 détruit 5 arches épargnées en 1710. Leur réparation en 3 arches fut proposé la même année mais reporté à une date ultérieure.
Pour finir, 3 arches du pont cèdent du 18 au 21/1/1789, par l’une des plus terrible crues de la Loire.
D'autres informations sont disponibles dans :

Les ponts de la Loire de Serge Vannier - Editions CPE

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Synthèse :

Les dimensions du pont Saint-Etienne sur la Vienne sont exactement de 5m 80 pour l'épaisseur des piles, de 11m 65 pour la portée des arches, de 4m 10 pour la largeur de la chaussée entre les parapets, mais sans tenir compte des bornes qui réduisent encore cet étroit passage. La gare d'aval a une reculée de lm30, et celle d'amont de 4 mètres jusqu'au parapet, qui a Om50 seulement. Après six siècles de durée, le pont Saint-Martial et le pont Saint-Etienne restent très utiles et servent encore aux communications de deux pauvres faubourgs.

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Synthèse :

Le pont Saint-Martial de Limoges est de la même forme et de la même date, au moins dans son ensemble que le pont Saint-Etienne; toutefois trois des piles (du pont Saint-Martial) semble démontrer que ce pont fut construit sur les ruines d'un pont romain.

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Synthèse :

Le pont du Marché à Meaux relie depuis le XIIIème siècle d'après (2) les deux quartiers fortifiés de la ville , appelés communément « la ville » et « le marché ». Au début du XIXème siècle, il est constitué de 8 arches de moellons cintrés de 4.6 à 8m d'ouverture, pour une longueur totale de 50m et une largeur de 6.8m.

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Références :

Références :

Synthèse :

Ce pont très particulier date du XIIIème siècle environ. Voilà ce qu'ecrit en 1862, le document référencé ci-dessus : Plus ancien que le chateau d'Orthez, ce pont jeté sur le Gave de Pau subsiste encore avec ses quatres arches inégales, dont trois sont de hautes ogives. Au milieu de ce pont, dont la pente est très raide, il y a une tour sous l'arcade de laquelle il faut passer. Tout est encore d'actualité.

Synthèse :

Le pont de Pont-sur-Yonne date du XII ou XIIIème siècle. En 1710, celui-ci est composé de 6 arches dont 4 de pierres anciennes et 2 en charpente, mais la solidité des deux dernières, construites selon l'invention du Sieur Bruant, était déjà questionnée. Ces 2 arches furent finalement reconstruites en 1738.

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Synthèse :

Un ancien pont dit "du Diable" est présent permet le franchissement d'un des deux bras de l'Yonne à Sens. Selon (3) , la construction de ce pont a eu lieu au commencement de XIIIème siècle. Ce pont est constitué de 7 arches d'ouverture de 5.8 à 9m, constituant une longueur totale de 49.2m pour une largeur de 6.1m. Ce pont est remplacé en 1841, le précédent étant en ruine et irréparable.

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Synthèse :

"Les deux villages étaient réunis par un pont à péage appartenant aux Polignac. C'est une ordonnance royale qui réunit le 20 mai 1839 ces deux villages pour former la commune qui existe aujourd'hui.
Deux ponts, classés monuments historiques, permettaient de passer d'une rive à l'autre de la Loire:
- Le Vieux pont (XIIIème) dont il ne subsiste que deux arches.
- Le Pont de la Chartreuse (XVème) uniquement accessible aux piétons aujourd'hui.
Un troisième ouvrage, le pont Galard construit en 1776 aux côtés des vestiges du Vieux Pont, relie depuis les centres de Brives et de Charensac."

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Synthèse :

Le pont d’Auxerre est ancien et a vraisemblablement toujours occupé la place où il s’élève aujourd’hui. Il fut bâti par ordre d’Agrippa au service de la grande voie romaine de Lyon, à Boulogne-sur-mer par Troyes. Une première construction du pont voisine de celle que nous connaissons eut lieu en 1226. Ce pont fut (partiellement) renversé en 1265, et la décision de sa réédification fut prise par le Roi Saint Louis le 25/7/1266. Le nouveau pont comportait 12 arches et mesure 113 mètres de long.
Fortifié au XIVème siècle, lors de l’invasion par les Anglais, il portent deux ponts-levis, une tour carrée appelée la « bastille du Pont d'Yonne », La Porte du Pont, un haut bâtiment rectangulaire mesurant 9 mètres de côté. Le pont fut réparé à plusieurs reprises sur les mêmes fondations, en 1270, 1470 et encore de nombreuses fois au XVIème et XVIIème siècles. Toutes ces réparations induisaient des taxes prélevées sur nombre de marchandises transitant dessus et dessous le pont. Au XVIIIème siècle, il est allegé des constructions qu'il portait. Au XIXème siècle, des évolutions sont rendues nécessaires pour faire face à la croissance des trafics fluvial et routier. En 1888, le pont prit le nom de Paul Bert.

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Synthèse :

Le premier pont en bois de Romans sur l'Isère daterait de l’an 1030. La présence d'un péage sur ce pont conduit à la naissance en face de Romans, de Bourg de Péage. En 1240, l’archevêque le fait reconstruire avec des piles de pierre. Le premier ouvrage entièrement en pierre date de 1720.
L'ouvrage est élargi en 1856 lors de la construction des premiers quais.
En juin 1940, les artificiers français font sauter l’une des arches du pont. Rapidement, le pont est à nouveau ouvert à la circulation automobile.

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Synthèse :

Le pont de Vaux est situé sur le Mau à Châlons en Champagne, au droit de la rue de Vaux. le premier pont de Vaux, au droit de la rue de Vaux, était vraisemblablement antérieur à 1242, et avait été détruit en 1767. Le nouveau pont de Vaux fut construit en 1774, à l'initiative de M. Rouillé d'Orfeuil. Ce pont est converti en demi-pont lors de la création du marché aux Comestibles et de la place Godard en 1846-1847.

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Synthèse :

Cet ensemble de ponts et de tours élancées, situé à l'embouchure des canaux aux moulins et du bras navigable de l'Ill, semblent avoir été édifiés pour la première fois vers 1250. Ils enjambent quatre bras de l'Ill, l'un menant à la "Petite France", les autres aux anciens moulins "Spitzmühle", "Dinsenmühle", et "Zornmühle". C'étaient des ponts tantôt en bois tantôt en pierre, couverts de toits à partir du XIVème siècle et ce, jusqu'en 1784 (ou 1774 ?), où les grandes toitures disparurent. La reconstruction des ponts en pierres de taille eut lieu entre 1863 et 1865, dernières modifications importantes apportées aux ponts que l'on visite aujourd'hui.

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Synthèse :

L'histoire du pont de Soissons, au service de la route royale N°2 de Paris à Maubeuge et à Bruxelles par Mons, remonte au temps des Romains. Il fut dans un premier temps reconstruit en pierre par l'Empereur Louis 1°, aux environs de l'an 826, au moyen de 6 arches. Il fut reconstruit en 1265, tel qu'il existe en 1839 à l'exception toutefois de la grande arche, dont la voûte en ogive fut remplacée, au XVIIIème siècle, par un arc de cercle surbaissé, pour faciliter le passage des bateaux haut charges. Cette reconstruction du pont qui avait été bâti 440 ans auparavant, fut-elle totale ou seulement partielle? on l'ignore, ainsi que les motifs qui y donnèrent lieu. Le pont de Soissons a 62 mètres entre culées, 9.74 mètres de longueur d'une tête à l'autre, 6 arches en pierre de taille, dont 5 en Ogive, et une en arc de cercle.

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Synthèse :

Sur la route de Najac, on emprunte le Pont Saint Blaise élevé vers 1269 pour franchir l'Aveyron. Au début du XIXème, ce pont est constitué de 4 arches de moellons en arc, de 5 à 17m d'ouverture, pour une longueur totale de 42m et une largeur de 3m. Cet ouvrage médiéval est toujours en place.

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Synthèse :

Le Pont Vieux de Saint-Affrique sur la Sorgues fut construit vers 1270. Il fut classé monument historique le 12 juillet 1886. Seul pont sur la Sorgues jusqu’au début du XIXème siècle, sa construction est remarquable mais d’accès difficile aux charrois qui voulaient l’emprunter. Il est constitué (début XIXème) de 3 arches (dont deux en ogive), de 15 à 21.3m d'ouverture, pour une longueur totale de 51.5 m et une largeur de 3.5m.

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Synthèse :

La vie de ce pont, situé sur la Canal du Faux-Rempart à Strasbourg, à proximité du débouché vers l'Ill, accompagne celle de l'Abbaye (des dames) de Saint-Etienne fondée à Strasbourg vers 717 par Adalbert d'Alsace, fils Etichon-Adalric d'Alsace duc d'Alsace. Historiquement ces ponts étaient au nombre de deux et reliaient l'île de la Courtine des Juifs au monastère Saint-Etienne. Le pont porta différentes appellations :

• vers 1786, pont de la rue des Pierres et pont Sainte-Claire,
• vers 1794, pont de Beaurepaire et de pont des Bataillons,
• vers 1795, pont des Maçons,

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Références :

Synthèse :

Selon (2), il semble que le pont vieux de Vabres L'Abbaye sur le Dourdou ait été construit en 1279 par Me Salamo Lapicida de Lodève et ses deux compagnons Hugues Delciau et un autre, dont le nom est effacé sur la charte, moyennant le prix de 8500 sous melgoriens..

Selon (1), le pont vieux est constitué alors de 4 arches en pierre de taille, de plein cintre, de 4.9 à 19.8m, pour un elongueur totale de 51.3m, et une largeur de 3.9m.

Synthèse :

Le pont de la Fregère à Najac sur l'Aveyron est au service de la départementale 39 qui relie Parisot à Rieuxpeyroux. Il est constitué (au début du XIXème siècle) de 3 arches de pein cintre, en pierre de taille, de 14.5 à 18m d'ouverture pour une longueur totale de 48m, et une largeur de 3.3m. Ce pont prit de l'importance lors de la construction du chemin de fer du fait de la grande proximité de la gare de Najac. C'est à cette période (1897), que son élargissement fut demandé.

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Synthèse :

Le pont National (qui franchit le Canal des Faux Remparts à Strasbourg) est l’un des plus anciens ouvrages de franchissement de Strasbourg, ses origines remontent à l’époque où Strasbourg s’appelait encore Argentoratum. Ce pont est situé sur le passage de l’antique Strata Superior, la voie romaine qui reliait Strasbourg à Saverne. Au Moyen-Age le pont que l’on désignait sous le terme de Zolbrücke am Zolthor (le Pont de la Douane) fut placé sous la protection de deux grandes tours-portes carrées. Il fut équipé d’un pont levis afin de permettre aux bateaux de circuler librement sur les eaux du canal. Il semble qu'il fut reconstruit en 1863.

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Synthèse :

Il nous reste quelques incertitudes sur l'unicité effective du "Pont de l'Esprit, vers le Marais Vert" - de 16m de long, et du pont de Saverne. Malgré tout l'histoire de ce pont remonte au XIIème siècle pour desservir la tour-porte fortifiée dite de la “Spire”, puirs prit de l'importance, quand Strasbourg s'étendit vers le Nord.

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Synthèse :

Situé au pied du château de Montferrand, le pont de Montferrand à Banassac sur le Lot fut probablement construit par Urbain V. Le pont a été réparé ou reconstruit au XVII ème siècle. Il comporte deux arches de pierre cintrée de respectivement 9.4 et 20.5m d'ouverture, pour une longueur totale d'environ 30m.

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Synthèse :

Ce pont permet le franchissement de la Meuse en face du bourg de Mézières, en direction du sud. Son histoire est  vraisemblablement antérieure au XIVème siècle. Ce pont est constitué en 1873 de 7 arches, pour une longueur totale de 79.6m.

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Synthèse :

La construction de ce pont de pierre, sur la Vienne, situé sur le routes nationales N°148, de Limoges à Nantes, et N°151bis d'Angoulême à Nevers, remonte au XIIème siècle mais a été depuis souvent remaniée. Trop étroit malgré un élargissement en 1824, il n'excède pas 3.50 mètres. Il était initialement équipé de 3 tours, qui explique la présence de cette emblême sur la blason de la ville. Un projet de nouveau pont est proposé en Assemblée générale pour approbation le 8/6/1848, pour une dépense totale de 480 000Fr. Malgré cette nouvelle construction, le vieux pont est toujours présent.

Synthèse :

Nous n'avons que peu d'information sur le pont Saint-Cyprien, sauf qu'il fait partie des ponts les plus vieux de Poitiers, vraisemblablement la première construction date de XIVème siècle. Il souffrit aussi fortement des crues de 1561 et 1770. Il est caractérisé comme "oeuvre monumentale fort maussade". Il est peu élevé, et donc facilement submergé.

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Synthèse :

Une maison sise sur le pont Saint-Nicolas est mentionnée en 1664, dans l'ouvrage "Les archives de la famille de Reinarch". Le pont dit de Saint-Nicolas est aussi mentionné dans l'ouvrage en référence daté de 1826. Il y est précisé que ce pont, aussi dénommé "Pont de l'esprit" est le seul avec le pont-neuf disposant de piles en pierre.

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Synthèse :

L'ouvrage (2) précise qu'un ancien pont existait à Arcy-sur-Cure, sur la Cure dès 1302, et qu'un nouveau pont fut construit en 1762.

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Synthèse :

La mise en place du pont de Saint-Guillaume est au moins antérieure à la construction du couvent des Guillelmites, fondé par la famille noble de Mülnheim en 1302. Ce pont en bois, qui alors s"appelait pont Saint-Etienne devint le Pont des Guillelmites ou Pont Saint-Guillaume. Sa présence est aussi confirmée en 1576, sur les plans des fortifications dressés par D.Specklin. Le pont Saint-Guillaume est le dernier passage sur l'Ill avant le débouché du canal du Faux-Rempart. Il semble qu'il fut remplacé en 1892 par un nouveau pont.

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Synthèse :

Le pont Saint-Esprit est le pont le plus remarquable de tous ceux qui nous reste du moyen-âge. Il fut construit entre 1265 et 1309 par la corporation religieuse et laborieuse des Pontifices ou Frères pontifes, et financé avec les aumônes recueillies. Il forme un coude sur le Rhône et sa longueur approche du kilomètre, 919 mètres exactement. Sur les 25 arches, 19 sont anciennes. Les bombardements américains les ont, par chance, épargnées; seule l'arche métallique moderne fut coupée.

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Synthèse :

Extrait de (2), : "Le pont fut donc construit au XIIIième siècle et surtout remis en état après qu'un fils de la châtelaine, Eléonore de Montfort, fut emporté par l'Agout en crue au XIVième siècle." Le site (3) précise que ce pont fut construit en 1319.

Ce pont sur l'Agout, situé à Roquebrune, est constitué de 4 arches de pierre, de plein cintre, de 11 à 14.4m, pour une longueur totale de 50.8m, et une largeur de 5m

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Références :

Synthèse :

La construction de ce pont semble s'être achevée en 1320. Il subit de nombreuses réparations dont celle qui l'objet de ce bulletin royal du 20/7/1840, qui autorise le reconstruction du pont de Carcassone sur l'Aude, au service de la route royale N°113 de Narbonne à Toulouse.

Synthèse :

Le pont de la Youle sur l'Aveyron fut bâti en 1320, sous l’ordre de l’évêque Pierre de Castelnau. Il se compose de 5 arches ogivales d'ouverture (au début du XIXème) de 4 à 9.3m et de 4 avant-becs triangulaires. Sa longueur totale du pont est alors de 41.3m et sa largeur de 4m.

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Synthèse :

Le pont des Fripiers est situé sur le Mau à Châlons en Champagne. Sa date de construction n'est pas clairement située, par contre il apparaît déjà sur les premières cartes que nous avons (XVIIIème). Ce pont est converti en demi-pont lors de la création du marché aux Comestibles et de la place Godard en 1846-1847. Depuis 1882, date de la mise en place de la Halle Couverte, le pont disparaît totalement. Ce pont semble aussi porter le nom de pont des Chanvriers. L'appellation "pont des Chaumères" que l'on peut trouver pour désigner ce pont semble en pas exister mais simplement résulter d'une mauvaise lecture/transcription de carte. (à confirmer).

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Synthèse :

Il semble que la construction du pont de Villefranche-de-Rouergue sur l'Aveyron débuta en 1298, et s'acheva en 1321. Le pont de Villefranche-de-Rouergue est constitué de 3 arches de pierre surbaissées, de 9.8 à 16.5m d'ouverture, pour une longueur totale de 40.8m et une largeur de 5.4m.

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Références :

Synthèse :

En 1330, un pont était déjà en place ici-même. Il était en bois et était soumis aux débordements de la Garonne. A partir de 1820, une étude est lancée pour aménager un pont vraiment solide. Le sieur Astufgue se porte adjudicataire du pont par loi du 5/8/1821. Le pont de Montréjeau, construit en pierre, est composé de 5 arches en arc de cercle, de 12 m d'ouverture chacune, et de deux petites arches en plein cintre, pratiquées dans l'épaisseur des culées. En mars 1825, les travaux sont à peu près terminés. Le passage sur le pont est livré au public depuis le 1/1/1825. Les dépenses de construction s'élèvent à 285 000 Fr, financés par un emprunt de 300 000 Fr. Le livre de Bradshaw (3) précise que ce pont comporte (en 1857) 6 arches, en contradiction avec les informations ci-dessus.

Références :

Synthèse :

La présence du pont de Castelnau sur le Lez est déjà mentionnée en 1334, dans l'ouvrage (1). Selon (2), en 1824, ce pont sur le Lez, au service de la route royale N°105 de Lyon à Béziers par Lunel et Montpellier, comporte 6 arches en pierre de taille, pour une longueur de 89 mètres. Il est alors estimé "d'ancienne construction et en état".

Synthèse :

Extrait du site : En 1304, Philippe Le Bel ordonne sa construction, il est achevé en 1335. II mesure 205 mètres de long et possède un tablier plat, chose rare au Moyen-Age. Sept arches ogivales, munies de becs, sont percées de hautes ouvertures afin d'évacuer davantage d'eau pendant les crues. Autrefois, une tour carrée s'élevait à chaque extrémité pour défendre l'entrée de la ville. Celle de la rive droite, où logeait le bourreau, est détruite en 1663 afin de construire le Palais Episcopal. L'autre est démolie en 1701 et remplacée par un arc de triomphe célébrant une victoire de Louis XIV. Tel le pont Saint Bénézet d'Avignon, le pont Vieux possédait une Chapelle sur la quatrième pile, dédiée à Sainte Catherine, protectrice des bateliers.

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Synthèse :

Cet ouvrage a été bâti en 1336, sur le chemin de Perpignan à Pratz-de-Mouillon. Il est composé d'une seule arche en plein cintre de 45m d'ouverture. La voûte est construite en pierres de taille de bas appareil, et le reste en briques. Il est remarquable par les voûtes que l'on a pratiquées dans les reins et dans les levées, et qui ont jusqu'à 7 à 8m d'ouverture. Il n'a que 3,9 m de largeur d'une tête à l'autre.

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Synthèse :

Ce pont est situé sur le bras navigable de la Moselle. Il communique avec la rue du Pont-des-Morts.
Ce pont fut appelé d'abord le premier pont des Morts, ou le pont des Barres, puis le Haut pont des barres, ensuite le pont des Pucelles et enfin le moyen-pont des Morts, pour ne conserver désormais que l'appelation Moyen-Pont. Cette appelation s'explique par l'étendue comparative de ce pont avec le Pont-des-Morts et par la distance de chacun d'eux de la ville.
Le Moyen-pont a été restauré entièrement et considérablement élargi en 1862. Il dispose d'un escalier de pierre pour descendre au chemin qui longe la Moselle.

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Synthèse :

Le Pont des Morts à Metz est situé sur le bras non naviguable de la Moselle, au service de la route impériale N°3, de Paris à Metz et à Mayence.
En 1324, ce pont était en bois mais il est noté que ce pont était initialement en pierre. La reconstruction des ponts Saint Georges, Moyen -pont, Thieffroy et Ponts-des-morts débuta en 1336. En 1421, ce pont est recouvert par la Moselle en crue, mais résiste. En 1831, plusieurs arches éboulées menaçaient ruine et il a fait l'objet d'une restauration complète de 1845 à 1847. En 1863, il comptait 17 arches.

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Synthèse :

Le Pont Saint-Georges est un des plus vieux ponts de Metz. Autrefois, le jour de la fête de Saint Georges, le 23 Avril, du haut de ce pont, le coûtre de la cathédrale bénissait la Moselle. La procession se rendait en suite à l'Eglise Saint-Georges. Il s'appela Pont Ventôse, durant la révolution en 1792.

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Synthèse :

En 1339, le comte Jean d’Armagnac fait bâtir sur l'Aveyron, le pont de la Mouline.  Il remplace un vieux pont en bois, au lieu-dit Pont-Viel et a donné son nom à la côte de Pont-Viel, rue qui reliait ce pont au centre de Rodez. Il est constitué au début du XIXème, de 3 arches de pierre en ogive, de 11 à 13.6m d’ouverture, pour une longueur totale de 36.6m, et une largeur de 5m. Il est vraisemblablement élargi en 1869, puis démoli à la fin du XIXème. siècle

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Synthèse :

En 1339, le comte Jean d’Armagnac fait bâtir sur l'Aveyron, le pont de la Mouline et celui du Monastère de Saint-Sernin. Au début du XIXème, ce pont est constitué de 5 arches de pierre de plein cintre, de 5.6 à 6.9m, pour une longueur totale de 29.6m et une largeur de 3.3m.

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Synthèse :

Ce pont est situé sur le bras non navigable de la Moselle, parallèle au pont de Thionville. Il communique avec la rue du Pont-des-Morts.
Ce pont fut aussi appelé pont Thieffroy, qui est devenu le Pontiffroy, et enfin le pont de Thionville. Cette appellation s'explique car il est situé sur la grand-route qui conduit à ce chef-lieu.
En 1324, ce pont était en bois mais il est noté que ce pont était initialement en pierre. La reconstruction des ponts Saint Georges, Moyen -pont, Thieffroy et Ponts-des-morts débuta en 1336.
En 1340, la construction primitive d'un pont de 12 arches, semblable à celles du pont des Morts semble être achevée.
En 1734, eut lieu la construction de 3 arches, rive gauche, puis en 1751 la reconstruction de 8 arches rive droite.
En 1854, fut engagée la restauration et l'élargissement à 3m10 des onze arches du pont.

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Références :

Synthèse :

Ce pont est mentionné dans le document en référence dès 1341. IL fut le théatre d'évenements sanglants entre les Basques et les Bayonnais (représentant le royaume de France), cette même année.

Synthèse :

Le Pont Saint-Pierre a une place importante dans l'histoire de Caen. Nous en trouvons trace dès 1346, quand les Anglais prirent Caen. Il est situé en face de la plus importante porte de la ville, au pied du Château, et permet de fait, la communication avec cette île et le franchissement de la petite Orne, au moyen de 3 arches. Initialement ce pont portait le nom de "Pont de Darnetal" comme l'Église Saint-Pierre, dont le nom historique est Église Saint-Pierre de Darnetal. Ce pont porta aussi l'Hôtel de Ville, ainsi qu'une horloge faite en l'an 1314. Le pont a été détruit lors des travaux de recouverture de l'Odon en 1862 (à confirmer).

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Références :

Synthèse :

Pont gothique construit sur le Tarn, à hauteur d'Ispagnac, vraisemblablement par le Pape Urban V.

Selon (1), ce pont est constitué de 6 arches de pierre, de 7.5 à 21.7m d'ouverture, pour une longueur totale de 87.4m et une largeur de 4.8m.

Synthèse :

Le pont des Grilles s'appelait anciennement Rhin-pont ou pont du Rhin, ou encore pont des Grilles, ou bien pont des Basses- Grilles, ou encore pont Royal (1745), ou enfin vulgairement pont de Chambière.
Le premier pont jeté en cet endroit remontait à l'année 1360, ainsi que le constate l'inscription présente sur l'ouvrage.

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Références :

Synthèse :

Cet ouvrage en pierre paraît très vieux et ses origines peuvent remonter à 1360. Dans le docuemnt ci-dessus, il est noté que du vieux pont, il ne reste que les piles et les arches des deux extrémités, et que le reste a été reconstruit en bois et pavé en 1821.

Références :

Synthèse :

Ce pont a été construit selon (1) en 1366, et très vraisembalablement réparé en 1501. Il est composé d'une seule arche de 26 mètres d'ouverture en anse de panier surhaussée.

Références :

Synthèse :

Notre référence (1) nous indique que le Pont Vieux de Castres sur l'Agout est antérieur au Pont Neuf, nous en concluons que la construction de celui-ci est antérieure à 1368. Selon(2), ce pont en pierre est constitué de 2 arches de plein cintre de 4.4 à 18.8m d'ouverture, pour une longueur totale de 23.6m, et une largeur de 5m.

Synthèse :

Il semble que la construction du Pont Neuf à Castres sur l'Agout date de 1368. Il fut réparé l’an 1568, après qu’une grande inondation l’eut endommagé.

Selon(2), ce pont en pierre est constitué de 3 arches de plein cintre de 5.4 à 11m d'ouverture, pour une longueur totale de 23.2m, et une largeur de 6m.

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Références :

Synthèse :

Pont-de-Roide, situé sur le Doubs, doit son origine à un pont fortifié romain, défendu par une tour ou un château soit rompu, soit tombé en vétusté dès le XIVème siècle. La construction du pont actuel semble dater de 1388. "Un pont "rompu" sur le Doubs à Pont de Roide est indiqué en 1698 dans le mémoire de M. d'Harouys. Selon un rapport publié en 1789, ce pont sur le Doubs, au service de la route de Gray à Champlitte (N°12), fut réparé en 1714,1715,1759 et 1780 aux frais du Roi. Il est alors noté "en bon état" et est constitué de 6 arches inégales de 22 à 24 pieds.

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Synthèse :

Avant la construction des ponts, le moyen de franchir le Rhin à proximité de Strasbourg, reposait sur l'usage de deux bacs, l’un partait de la Robertsau pour aller à l’île, et l’autre partait de cette île pour arriver au bas du fort de Kehl. Deux ponts temporaires furent construits en 1335 et en 1370 pour le passage des troupes. En 1378, la crue du Rhin endommagea très fortement le pont de Kehl, si fortement que l’on dut le reconstruire – Le pont nouveau, premier pont permanent du Rhin, reposant en partie sur des bateaux et en partie sur des pieux, fut achevé en 1388, financé par la ville de Strasbourg. Un récit de l’empereur Wenceslas, en 1393, accorda à la ville la concession à perpétuité. En 1672, le prince de Condé fit détruire le pont de Kehl. De nombreuses fois, l'ouvrage dut souffrir des violences des inondations et surtout des débâcles. Le pont ne subsista pas à la révolution, car en 1796, il est mentionné la mise en place de pont de bateaux. Il nous reste à déterminer les conditions précises de la disparition du pont fixe, objet de cette page !

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Références :

Synthèse :

La présence du pont de Juvenal est déjà mentionnée en 1392, dans l'ouvrage (1). Selon (2), en 1824, ce pont sur le Lez, permettant de relier le centre de Montpellier au port de Juvenal, comporte 7 arches en pierre de taille, pour une longueur de 121 mètres. Il est alors estimé en bon état.

Synthèse :

Le pont de Baume-les-Dames sur le Doubs a une bien longue histoire. Première mention en est faite en 1393, lors de la mise en place d'un péage. Il fut emporté par une crue en 1407. Le péage fut alors abandonné à l'Abbaye de Baume-les-Dames (en l'occurence Baume-les Nonnes), en charge pour elle de réparer le pont - incessamment. Il fait l'objet d'une reconstruction en 1522. En 1651, l'Abbesse de Baume les Dames cède à son tour le pont à la ville. Le pont est aussi mentionné en 1698 par (2) en tant que "pont de pierre". En 1789, un rapport fait état d'un pont en pierre sur le Doubs d'état hétérogéne. Il y est noté une partie fort ancienne, la reconstruction de 2 arches en 1742 et 1743, et une 3ème en 1787 aux frais de la ville. En 1820, le péage est prorogé par Ordonnance (4), cette même ordonnance laissant à supposer qu'un nouveau pont est construit.

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Références :

Synthèse :

Selon l'ouvrage ci-dessus, le pont de Gien sur la Loire fut fortement ébranlé par le crue de mai 1733.
Des travaux sont nécessaires pour empêcher la ruine. Trois sommes imposées de 100000 livres sont employées à cette fin en 1734, 1735, 1736. D'autres informations sont disponibles dans :

Les ponts de la Loire de Serge Vannier - Editions CPE

Références :

Synthèse :

L'origine médiévale de pont est probable. Selon l'ouvrage en référence : "Un assez beau pont, décoré d'une fontaine, sert d'avenue à la porte principale de Mollans; la rivière d'Ouvèze passe sous ce pont, traverse et fertilise le territoire, et va recevoir les eaux du Thoulourenc et de la rivière d'Aigue-Marse, qui le séparent du département de Vaucluse".

Synthèse :

Le pont de Moulins a une bien longue histoire qui semble débuter a minima au début du XVème.

Selon l'ouvrage ci-dessus, le vieux pont de Moulins fut reconstruit par Colbert mais complètement ruiné de nouveau en 1689.
Une nouvelle tentative de pont en pierre est engagée en 1705 suivant en cela le projet de l’architecte Hardouin-Mansard (neveu du célèbre Mansard). Malgré tous les soins apportés, le pont à peine terminé fut emporté par une crue le 10 Novembre 1710. De nouveau projets furent présentés, sans succès.
Entre-temps, décision est prise de mise en place d’un pont en bois (arrêt du 22/5/1731), qui dura jusqu'à la construction du pont de Moulins que nous connaissons aujourd'hui, qui assura son service à partir de 1762.

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Synthèse :

Ce pont a une longue histoire, car il est l'un des plus importants de la province. Il permet de relier Besançon à salins. Il semblerait que la construction de ce pont date d'environ 1390 et serait l'initiative des ducs de Bourgogne. Il comporte 6 arches de respectivement 25, 26, 27, 13, 14, 18 pieds. En 1789, les arches intermédiaires sont dans un tel état qu'elles sont devenues dangereuses et deux avant-becs ont été démolis par le chocs des glaces de Janvier 1789. Un projet est établi pour transformer le pont en pont symétrique de 5 arches de respectivement 34, 36, 38 pieds. Il est à noter qu'à cette même époque, le domaine perçoit un péage pour en assurer l'entretien. Mais il semble qu'il fallut attendre 1840 (ou 1844 ?) pour la construction du pont actuel.

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Synthèse :

Seyssel est une ville dont l'histoire remonte aux antiquités. Il semble que la présence d'un pont est une des justifications de la présence de cette ville, initialement bâtie par les romains sous le nom de Sissum. La présence de ce pont est par ailleurs encore mentionnée au début du XIXème siècle par (2), qui précise par ailleurs que ce pont est en bois de 6 travées de 10 à 15m. Ce pont a été détruit en 1815 lors de la bataille avec les Autrichiens (4), mais la crue de 1835 l'emporte définitivement. Un pont suspendu fut construit en 1840

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Références :

Synthèse :

Extrait de (1), ce pont, aussi appelé "Pont des anglais", enjambe la Vézère au niveau d'un ancien passage à gué. Si la date de sa construction reste incertaine, ses caractéristiques apparaissent comme antérieures au 14° siècle. D'une longueur de 45 mètres, il est composé de quatre arches épaisses alternées en amont par des avant-becs en amande, et par des contreforts plats en aval. Cet ouvrage est classé monument historique depuis 1969.

Synthèse :

L'ouvrage ci-dessus mentionne une levée d’une imposition en 1687 de 33 779 liv pour les ponts de Pont-sur-yonne et ponts de Bray.
Par ailleurs il y est aussi dit que en 1715, 7 arches du pont de Bray-sur-seine étaient ruinées.
Projetées d’être reconstruites en bois, elles furent finalement reconstruites en pierre vers 1730, selon un devis de Boffrand.

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Synthèse :

"Les deux villages étaient réunis par un pont à péage appartenant aux Polignac. C'est une ordonnance royale qui réunit le 20 mai 1839 ces deux villages pour former la commune qui existe aujourd'hui.
Deux ponts, classés monuments historiques, permettaient de passer d'une rive à l'autre de la Loire:
- Le Vieux pont (XIIIème) dont il ne subsiste que deux arches.
- Le Pont de la Chartreuse (XVème) uniquement accessible aux piétons aujourd'hui.
Un troisième ouvrage, le pont Galard construit en 1776 aux côtés des vestiges du Vieux Pont, relie depuis les centres de Brives et de Charensac."

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Synthèse :

Selon (2) : "Cet ouvrage est un ancien pont composé de cinq arches en plein cintre, de 13 à 19,5m d'ouverture. Sa largeur était de 5,85m. Il a été élargi par M. Gauthey, et porté à 9,75m.".

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Synthèse :

Ce pont d'allure gothique et vraisemblablement datant du XVème siècle (une première construction évoquée vers l'an 900), permettait le relier la ville au faubourg Saint-Vénérand. Ce pont était aussi au service de la route de Paris.

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Synthèse :

Le pont de Montrichard a été construit postérieurement à celle de la construction du mur d'enceinte du même village, construit à l'époque de Louis XI - XVème siècle (et détruit au début du XIXème). Ce pont de pierre composé de onze arches et situé sur la rivière du Cher, a été très maltraité par la crue due Novembre 1770 : une des culées menacait d'une ruine prochaine ainsi que plusieurs arches. Ce pont est toujours en service.

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Références :

Synthèse :

Nous n'avons que peu d'information sur ce pont, sauf que selon (1) il était présent en 1698. Le Petit Futé précise qu'il date du XVème siècle.

Synthèse :

L'histoire du pont Saint-Nicolas remonte loin dans l'histoire de Nantes. Il est déjà mentionné au XVème siècle. Compte-tenu de son emplacement, nous supposons qu'il change de nom et porte le nom de pont de la Casserie en 1607 quand il s'écroula.

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Synthèse :

L'existence d'un pont de bois à Riscle sur l'Adour est déjà mentionnée au XVème siècle. A cette même époque, il y avait aussi à Riscle un pont sur l'Arros, qui tend à démontrer que le lieu de confluence de l'Adour et l'Arros s'est beaucoup déplacé depuis ! Au XIXème siècle, nombreuses seront les tentatives de Riscle pour remplacer ce pont par un pont en maçonnerie. Une reconstruction en bois est pourtant engagées en 1823, par ordonnance royale (8/1/1823). La décision de la construction d'un pont en pierre est même prise par procès-verbal le 16/4/1853, mais finalement ce chantier adjugé au Sieur Pinel avorte, notamment suite à un conflit entre l'entrepreneur et les Ingénieurs de l'administration, notamment sur la façon de construire les piles. D'autres demandes de la commune sont notées en 1861, 1884, 1887. Une nouvelle réparation est aussi engagée en 1898. Un pont suspendu sera finalement construit puis livré à la circulation en 1930 (à confirmer) par l'Entreprise Arnodin selon (5) après adjudication en 1927.

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Synthèse :

Les origines du pont Royal semble remonter ... au 15ème siècle. ... Vers 1670 cette première construction fut remplacée par une passerelle piétonne surélevée, équipée d'un pont levis pour permettre le passage des plus gros navires de commerce. Dans les années 1770 la passerelle fut remplacée par un véritable pont carrossable construit entièrement en bois, ses extrémités furent complétées par deux ponts levis, l’ouvrage prit le nom de Pont Royal.
En 1840 le Génie Militaire le remplaça par un pont en maçonnerie à six arches.

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Références :

Synthèse :

Extrait de (1) : Cette arche, en arc de cercle de 35m de corde, et 8,8m de flèche, a été bâtie près de Sisteron, en 1404, du produit des indulgences accordées par un pape. La largeur est de 2m. Elle est fondée sur le rocher à l'éntrée des gorges du Verdon..

Synthèse :

Ce pont est remarquable par la hardiesse de sa construction. Il est d'une seule arche, en pierres de taille, de 20 toises (39 mètres) de largeur sur 8 ou 10 de hauteur, suivant que les eaux creusent ou élèvent le lit de la rivière. La maçonnerie de ses piles n'a que 2 toises d'épaisseur, mais elle est fortifiée de part et d'autre part de grands éperons. Au sommet de son cintre s'élève une petite tour carrée de 2 toises, sous laquelle on passe. Il y a eu long-temps des portes dans cet endroit du pont, pour admettre, refuser ou arrêter les passans, et assurer la perception d'un péage.
La pile gauche est percée d'une porte de 9 pieds 1/2 de largeur sur 11 de hauteur, dont le seuil, au niveau des éperons des piles, est élevé de plus de 10 pieds au-dessus des eaux, qui n'y entrent que dans les grandes crues. Elle a été construite pour faire passer le chemin de Mirabel, qui, en traversant ainsi le bas du pont, conduit par un quart de cercle sur ce même pont; ce qui a donné lieu à l'énigme qu'il faut passer sous le pont de Nyons avant de passer dessus.

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Synthèse :

Le pont construit en 1421 sur le Lot, par Jean Aoustet, à environ 3 kilomètres en aval de Mende, à l’endroit où le fleuve se heurte contre le causse de Changefège, tourne brusquement au Sud et longe la paroi occidentale du causse de Mende, avait au Moyen Âge la même importance que le pont qui l’a remplacé, sur lequel passe la route de Mende à Toulouse.

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Références :

Synthèse :

Extrait : "Les habitans de Redon et ceux de la paroisse Saint-Nicolas ayant ensemble des rapports continuels, il était intéressant, pour les uns et les autres, qu'il fût établi un pont sur la rivière de Vilaine, qui les séparait. L'abbaye en commença un en 1429, et il fut achevé, dans la suite, vraisemblablement par les habitants de Redon et du faubourg.
En 1752 et 1765, il fut rendu deux arrêts du conseil, qui autorisèrent l'augmentation des octrois, afin de faire des réparations au pont Saint-Nicolas.

Synthèse :

Le pont de Lagny à Thorigny, au service de la route nationale N° 34, est très souvent mentionné, dans les ouvrages, ayant souvent joué un rôle important dans les différentes guerre. Il apparaît déjà en 1431, sous le règne de Charles VI et VII. En 1710, ce pont est en bois et constitué de 7 travées. Nous savons par ailleurs qu'en 1814, un pont en bois y est construit.

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Synthèse :

La première mention d'un pont sous le nom de "Marbachbrücke" date de 1305. C'est certainement le voisinage de l'hôtel de Marbach qui influença l'appellation. Mais c'est en 1432 qu'a été construit un pont en bois, désigné sous le nom de pont Saint-Martin., en remplacement d'une simple passerelle. Ce pont a aussi pu s'appeler Mardersbrück (pont des Martres). Le pont en pierre dont la construction a débuté en 1863, est l'oeuvre de Conrath. A ce jour, il est, avec les "Ponts Couverts", le plus vieux pont en pierre de Strasbourg.

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