Tous les ouvrages du XIXème ou antérieurs
dans la ville de Nantes

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Certains pensent que l'origine de la chaussée Barbin, sur l'Erdre, remonte au temps des Romains, d'autres pensent que celle-ci fut construite à l'initiative de St-Félix, Évêque de Nantes au VIème siècle. Il n'en demeure pas moins vrai que l'origine de cette chaussée date de nombreux siècles. Sa création vient sans doute d'une gué, progressivement érigé en chaussée, pour garder plus d'eau à l'étang qui alimentait les moulins en aval, propriété des Évêques de Nantes jusqu'en 1752. La chaussée dut être reconstruite un première fois en 1774, pour porter la route de Rennes à Nantes, selon les plans de M. Ceineray.

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Synthèse :

La construction de la chaussée Barbin, sur l'Erdre, date de nombreux siècles. Elle dut être reconstruite un première fois en 1774, pour porter la route de Rennes à Nantes, selon les plans de M. Ceineray. Elle fut aussi reconstruite et rehaussée en 1831.

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Synthèse :

L'ancienne chaussée Barbin sur l'Erdre datant de 1774, fut aussi reconstruite et rehaussée en 1831, ne laissant qu'une seule arche pour l'écoulement des eaux. A cette même date, les moulins présents sur cette chaussée furent détruits.

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Synthèse :

Nous n'avons que peu d'information sur le Pont de Belle-Croix à Nantes, qui relie l'Ile Feydeau à l'Ile Gloriette en permettant le franchissement d'un bras de la Loire. Selon (7), il fut construit en 1475 (mais selon (1) en 1481). Il fut détruit lors d'un bombardement vers 1943. Ce bras de Loire fut comblé juste avant cette période.

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Synthèse :

Le pont Feydeau, qui plus tard deviendra Pont de la Bourse, a été construit, sur un bras de la Loire, sous l'initiative de Gérard Mellier vers 1725. Ce pont permet de relier l'ile Feydeau au centre de la Ville de Nantes. Le 15/5/1726, un premier adjudicataire remporte le marché et engage les travaux. Malheureusement, ce pont est très mal construit et s'écroule avant sa mise en service. Une deuxième adjudication en Aout 1731 en permet son ouverture au public vraisemblablement vers 1733. Ce pont en pierre a vingt-une toises quatre pieds de longueur et est composé de trois arches.
Sa reconstruction débuta vers 1868 et se termina vers 1870, semble-t-il.

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L'histoire du pont Saint-Nicolas remonte loin dans l'histoire de Nantes. Il est déjà mentionné au XVème siècle. Compte-tenu de son emplacement, nous supposons qu'il change de nom et porte le nom de pont de la Casserie en 1607 quand il s'écroula.

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Le pont de la Casserie s'écroula en 1607. Il s'écoula une deuxième fois en 1741 faisant alors de 25 à 30 victimes. Il était alors équipés de maisons des deux cotés. Le 7 Octobre 1829, son passage en fut interdit. Il est alors remplacé par un pont suspendu.

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Le 7 Octobre 1829, le passage du vieux pont de la Casserie fut interdit. Il est alors remplacé par un pont suspendu, qui prend aussi le nom de pont d'Arcole.

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Synthèse :

Le nom initial du pont était le pont du Port Communneau, et son origine semble remonter aux travaux de l'évêque St Felix au milieu du VIème siècle. Il était alors construit de bois. Nous n'avons pas trouver trace d'une reconstruction du pont en profondeur, avant celle de sa reconstruction en 1863, suite au décret impérial en autorisant sa construction le 25/8/1861.

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Synthèse :

Il semble que le premier pont construit sur l'Erdre à son confluent avec la Loire fut construit à la mort de la Duchesse Anne en 1513, situé alors dans l'alignement de la rue Sainte Catherine. Mais c'est le pont construit en 1743 qui entama le XIXème siècle. Situé dans l'alignement du Quai Brancas, et construit un peu en contrebas, il fut envisagé de le reconstruire en pierre en 1769. Mais ce n'est qu'en 1803, il semble, que la construction de ce pont en pierre fut réellement opérationnelle.

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Synthèse :

Ce pont, situé sur l'Erdre, à proximité du confluent de la Loire, dans l'alignement du Quai Brancas, et construit un peu en contrebas, fut construit en 1743. Il fut envisagé de le reconstruire en pierre en 1769. Mais ce n'est qu'en 1803, il semble, que la construction de ce pont en pierre fut réellement opérationnelle.

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Ce pont metallique construit vers 1840 sur l'Erdre au confluent de la Loire, à Nantes, semble avoir remplacé un pont précédent construit en 1803.

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Le pont de la Magdeleine permet le franchissement d'un bras très large de la Loire, de l'Ile Gloriette, à celle de Biesse. Un vieux pont était en place mais fut emporté en 1579. Il a été reconstruit en 1580, et comme tous les ponts de cette ligne, il est la propriété du Prieuré de la Madeleine, qui en perçoit à ce titre des revenus, mais a l'obligation de le maintenir en état, comme par exemple en 1651, pour la réparation de deux arches emportées par les crues.

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Le pont de bois de l'Île Feydeau qui relie l'Île Feydeau à l'Île Gloriette fut construit en 1779, des deniers des particuliers qui habitaient les maisons situées au-dessous de l'Hôpital. M. Dainebrouc, riche négociant donna seul 6 000 Francs. La construction de cette passerelle coûta 15 000 Francs. Il fut entretenu par la Communauté. Il prit le nom de pont Maudit, du fait de son exposition aux vents.
En 1830, eut lieu l'adjudication de sa reconstruction en pierre pour une estimation de 125 000 Francs, mais il ne fut finalement reconstruit qu'en 1843, avec 3 arches en pierre.

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En 1830, eut lieu l'adjudication de la reconstruction en pierre, de la passerelle en bois construit en 1779, pour une estimation de 125 000 Francs, mais il ne fut finalement reconstruit qu'en 1843, avec 3 arches en pierre. Mais le 16 Juillet 1913, le pont s'écroula, sans faire de blessés. Il fut alors remplacé en 1914, par un pont en ciment, finalement détruit à son tour vers 1930, à l'occasion du comblement de ce bras de la Loire.

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Le nom initial du pont était le pont du Port Communneau, et son origine semble remonter aux travaux de l'évêque St Felix au milieu du VIème siècle. Il était alors construit de bois. Nous n'avons pas trouver trace d'une reconstruction du pont en profondeur, avant celle de sa reconstruction en 1863, suite au décret impérial en autorisant sa construction le 25/8/1861.

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Synthèse :

Le nom initial du pont était le "pont du Port Communneau", et son origine semble remonter aux travaux de l'évêque St Felix au milieu du VIème siècle. Il était alors construit de bois. Le pont a été reconstruit en bois en 1832, puis fut reconstruit en 1863 en fer, suite au décret impérial en autorisant sa construction le 25/8/1861.

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Le pont d'Orléans fut livré au public courant Juin 1829. Il portait alors le nom de "Pont Charles X".

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Dès 1636, le pont des petits-Murs est présent. Un nouveau pont des Petits-Murs est construit en 1790, mais dès 1809, on envisage sa reconstruction, mais ce pont resta à l'état de pont provisoire et ne fut jamais achevé. Un droit de péage fut même établi en 1814, puis le pont fut finalement remplacé par le pont de l'Écluse en 1829, dont la première pierre fut posée vers Juillet 1828, en présence de la Duchesse du Berri.

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Dès 1636, le pont des petits-Murs est présent. Un nouveau pont des Petits-Murs est construit en 1790, mais dès 1809, on envisage sa reconstruction, mais ce pont resta à l'état de pont provisoire et ne fut jamais achevé. Un droit de péage fut même établi en 1814, puis le pont fut finalement remplacé par le pont de l'Écluse en 1829, dont la première pierre fut posée vers Juillet 1828, en présence de la Duchesse du Berri.

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Dès 1636, le pont des petits-Murs est présent. Un nouveau pont des Petits-Murs est construit en 1790, mais dès 1809, on envisage sa reconstruction, mais ce pont resta à l'état de pont provisoire et ne fut jamais achevé. Un droit de péage fut même établi en 1814, puis le pont fut finalement remplacé par le pont de l'Écluse en 1829, dont la première pierre fut posée vers Juillet 1828, en présence de la Duchesse du Berri.

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Le pont de Pirmil fut construit en pierre en 1563, clos en 1605, garni de nouvelles arches en 1711 (pour réparer les dommages terribles causés par la crue de 1711), en 1719 (complètent les réparations précédentes sur 3 piles), réparé en 1771, 1830 et en 1842, avec larges trottoirs et rampres de fer. Il a à cette date 16 arches et 253 m de long.

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Synthèse :

Le pont de Pirmil fut construit en pierre en 1563, clos en 1605, garni de nouvelles arches en 1711 (pour réparer les dommages terribles causés par la crue de 1711 - 5 arches renversées), en 1719 (complètent les réparations précédentes sur 3 piles), réparé en 1771, 1830 et en 1842, avec larges trottoirs et rampres de fer. Il a à cette date 16 arches et 253 m de long.

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Le pont de la Poissonnerie a été construit en 1618. Le pont Feydeau qui se trouve sur le même bras de la Loire viendra plus tard le seconder. Mais déjà en 1668, il est en très mauvais état, et de nombreuses et coûteuses réparations sont nécessaires, notamment en 1799, 1721 et 1728. Pendant ces réparations un pont volant fut mis en place. Ce pont fut détruit semble-t-il en 1755.

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Le vieux pont en bois donnant de vrais signes de faiblesse, et nécessitant de coûteuses réparations, en 1738, son remplacement par un pont en pierre fut décidé par la Communauté de Nantes. Les travaux débutèrent en 1745, mais en 1758, ils n'étaient pas encore achevés. A cours de moyens, un emprunt fut autorisé ce qui permit de finaliser la construction et de permettre sa mise en circulation en 1762. Il porte alors le nom de "Pond'Aiguillon, en référence au Duc d'Aiguillon, Intendant Général de Bretagne, qui posa la première pierre du nouveau pont. Ce pont de pierre ne comporte qu'une seule arche de 23 mètres d'ouverture. Le bras de la Loire qu'il aidait à franchir semble avoir été comblé vers 1940.

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Synthèse :

Le pont de Recollets (aussi appelé Pont de Brise-bois) fait partie de la suite de ponts qui permet de franchir la Loire au sud de Nantes, dans l'alignement du pont de la Magdeleine. Plus spécifiquement il permet de relier la prairie du Pré-Joli à l'île des prairies Aval et Amont.
L'origine du pont est très ancienne. Il en est fait mention en 1617. Nous n'avons guère de détail sur la vie de ce pont sauf qu'il est encore bien présent au XIXème siècle.

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Synthèse :

Le pont Rousseau sur la Sèvre Nantaise se situe à la sortie de Nantes, sur la route de Clisson et au service de la route impériale N°23 de Paris à Nantes. Une première construction est notée en 1658. L'entretien du pont et ses recettes sont à la charge du Prieur de Pirmil et du Comte de Rézé. Il fut emporté une première fois en 1663. Il ne résista pas non plus à la crue séculaire du 26/11/1770, comme beaucoup de ponts de la région. Les finances étant insuffisantes, un bac gratuit fut mis en place. Mais le coût trop important de ce bac gratuit poussa les autorités à construire un pont en bois de 7 travées qui sera achevé en 1778.

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Synthèse :

Le pont Rousseau sur la Sèvre Nantaise se situe à la sortie de Nantes, sur la route de Clisson et au service de la route impériale N°23 de Paris à Nantes. Le pont en bois de 7 travées achevé en 1778 est le siège d'un combat important lors de la guerre de Vendée, en 1793. Il est reconstruit semble-t-il en 1806, sur les plans de l'Ingénieur Rapatel.

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Synthèse :

Le pont Rousseau sur la Sèvre Nantaise se situe à la sortie de Nantes, sur la route de Clisson et au service de la route impériale N°23 de Paris à Nantes. Le pont reconstruit semble-t-il en 1806, sur les plans de l'Ingénieur Rapatel, fait l'objet d'une nouvelle reconstruction en 1839.

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Synthèse :

La première construction du pont de Sauvetout semble dater de 1227. Une véritable construction est mentionée en 1601, sous la direction de l'ingénieur Briquet pour la somme de 480 écus. De pont de bois, il fut transformé en pont de pierre en 1723, sousl'initiative de Gérard Mellier et selon les plans de l'architecte Goubert.

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Synthèse :

Alors en bois, l'ancien Pont de Sauvetout à Nantes sur l'Erdre fut transformé en pont de pierre en 1723, sous l'initiative de Gérard Mellier et selon les plans de l'architecte Goubert. L'architecte constructeur en fut Joseph Arnoud, et la construction coûta 11 892. Ce pont subsista, bon gré mal gré, jusqu'en 1809 où le pont fut reconstruit.

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Synthèse :

Une nouvelle opération de reconstruction du Pont de Sauvetout à Nantes sur l'Erdre fut engagée en 1796, mais fut interrompue. Elle ne fut reprise qu'en 1809, sur la base des fondations entreprises en 1796, sous la direction de l'Ingénieur en chef de Ponts et Chaussées Dubois des Saussais.

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Synthèse :

Un pont suspendu fut établi sur un bras de la Loire désigné "Canal Saint-Felix" au milieu du XIXème siècle. Son histoire commence en 1835, à l'initiative de MM Seguin. Une ordonnance du 26/6/1837 en autorise la construction. L'adjudication fut prononcée le 16/8/1837 en faveur du projet de Messieurs Chaley et Bordillon . Les épreuves seront passées avec succès le 15/7/1840. Ce pont suspendu de 66 mètres d'ouverture porte selon le cas le nom de "Pont de la Rotonde" ou "Pont Saint-Felix". Le 21/7/1866, la suspension de ce dernier rompit au passage d'un troupeau de boeuf. Il fut remplacé par un pont métallique à travée unique de 48 mètres d'ouverture. En 1939-1941, ce dernier pont fut remplacé par le passage supérieur Carnot.

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Le pont de Toussaint fait partie de la suite de ponts qui permet de franchir la Loire au sud de Nantes, dans l'alignement du pont de la Magdeleine. Plus spécifiquement il permet de relier l'île de la Prairie de la Biesse à l'île de la prairie du Pré-Joli.
L'origine du pont est très ancienne. Il en est fait mention en 1617 (A cette date, il est mentionné que l'on y construit 6 maisons). Nous n'avons guère de détail sur la vie de ce pont sauf qu'il est encore bien présent au XIXème siècle.

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Références :

Synthèse :

Le pont du Gué-aux-Chèvres, au bout du quartier de Richebourg, à l'entrée de la prairie de Mauves, que l'on appelle aussi "Arche de Mauves", fut construit en 1571.