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Personnages clés

Personnages clés du cercle Seguin

Personnages clés - Classement alphabétique

Pierre-André Malboz

Frederic-Dominique Malboz

Victor Mallein

Charles-François Mallet - 1766 - 1853

Christofle Marie

M. Marnac

Georges Martin

Pierre-Dominique Martin

Emile Martin

Sieurs Masur

Ingénieur M. Maurette

Sieur Migneron de Broqueville

M. Moisset - 1741 - 1827

Henri Monniot

M. de Montrocher

Jean-Antoine Morand

M. Mounier

Sieur Paul Mouton

Claude Navier - 1785 - 1836

M. Neuvesel

Antoine Puiné

M. Oppermann

M. Oudry

Sieur Ozou

Claude Joseph Camille Paret

Inspecteur Payen

Antoine-Michel Perrache - 1726 - 1779

Jean-Rodolphe Perronet - 1708 - 1794

M. Perroud

M. Pertinchamp

M. Picault

M. Picot

Sieur Bernard Pillore

M. Pitot

M. Pitrou

Bruno Plagniol

Entrepeneur Plouard

M. Pointurier

M. Pollard

Antoine Rémi Polonceau - 1778 - 1847

Camille Polonceau - 1813 - 1859

Frères Pontifs

Sieur Portail

Achille Siméon Marcel Pelevin Pujol

Ingénieur Quauvelin

Sieur Jean-Pierre Quénot

M. Querret

Sieur Quilhet

Sieur de Rangot

M. Rapatel

Louis De Regemorte - 1715 - 1774

Noel De Regemorte - 1710 - 1801

M. Robin

M. Rouyer

Sieur Ferdinand Ruiz

Joseph-Marie de Saget - 1725 - 1782

Joseph-Leopold Saget - 1748

Rodolphe Salsguéber - 1725 - 1782

J. Frossard de Saugy

Jean-François-Théophile Sauzet

M. Savarin

M. Sordan

M. Souffron

M Sainte-Claire

Georges Stephenson - 1781 - 1848

M. Sully

M. Surville

M. Tardif

Armand Thevenet

M. Eugène Thomas

M. Thoré

M. Thouret

M. Varaigne

Vareigne

Jean-Isidore Vaugré

Marie Fortuné de Verges - 1794

Ingénieur Vestier

Louis-J. Vicat - 1786 - 1861

M. Vigoureux

Vimal Dupuy

Vimar

Jean-Baptiste de Voglie

Léon Florian Wedrychowski

M. Wenger

M. Werbruge

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Références :

1 - L'art de construire les ponts - Ferdinand Arnodin à Châteauneuf-sur-Loire

Ferdinand Arnodin est né en 1845 à Sainte-Foy-lès-Lyon. En 1856, son père qui travaillait déjà à la Compagnie Seguin à Lyon, s'installe à Chateauneuf sur Loire. Naturellement, après des études au Conservatoire des Arts et Métiers, Ferdinand rentre lui aussi à la Seguin freres , devenue entre-temps la Société des ponts à péage .
En 1872, il y fonde sa propre entreprise, la Ferdinand Arnodin où il apporte de réelles améliorations à la technique des ponts suspendus, notamment le câble à torsion alternative ainsi que la poutre “Arnodin”, du nom de son inventeur. Il est clair que ces inventions apportent un nouveau souffle aux ponts suspendus dont la construction avait été freinée par les différents accidents survenus (Angers 1850, ..).

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Augustin Seguin est né le 28/8/1841. Il est le premier enfant d'Augustine Montgolfier, deuxième épouse de Marc Seguin.

En 1866, Augustin devient directeur de la Sté des Chantiers de la Buire

Augustin Seguin aura onze enfants. Parmi eux, Rose, Marie et Joseph hériteront de son talent artistique, Louis, Laurent et Augustin de ses qualités d'ingénieur. Plus tard Louis et Laurent développeront le moteur rotatif HP 50 Gnôme qui permettra l'essor de l'aéronautique en tant que moyen de transport fiable. La société Gnôme et Rhône sera cédée par la famille en 1925 et est devenue aujourd'hui la SNECMA.
Augustin Seguin décède le 18/8/1904.

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Références :

1 - Bulletin des lois - 1847 du 22/07/1847
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Références :

1 - Fonds Seguin par Archives Départementales de l'Ardèche, Tome 41J87
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Références :

1 - Les Ponts Modernes - 18EME-19EME siècles - 1990 - Bernard Marrey par Picard - p304.

Ferdinand Jean Bayard de la Vingtrie est né en 1791 à Philadephie (US), Son père militaire parti aux Amériques en 1788 en revint en 1794.
 Ferdinand fut élève à l'école Polytechnique et celle des Ponts et Chaussées (comme Marie Fortuné de Verges son futur associé).

Il est mort en 1852.

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"Travaux des Ponts et Chaussées depuis 1800" par M. Courtin - 1812 - p105.

M. Becquey-Beaupré fut ingénieur en Chef aux Ponts et Chaussées à Paris au début du XIXème siècle.

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Ingénieur des Ponts et Chaussées.

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Edouard Biot est le fils de >Jean-Baptiste Biot, célèbre physicien du XIXème siècle. Il poursuivit son oeuvre, et maintînt son concours aux entrepises des frères Seguin.

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Références :

1 - Guide classique du voyageur en France et en Belgique - Richard à Paris, Tome 21 - 1843 - p235.

Né en Picardie à Ribemont en 1617, Sieur Nicolas-François Blondel est membre de l'Académie Royale des Sciences sous Louis XIV à partir de 1669. Il semble que l'une des ses oeuvres principales fut le pont de Saintes sur la Charente, qu'il décora d'un arc de triomphe !

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Informations issues de "Etudes Historiques sur l’administration des voies publiques en France aux dix-septième et dix-huitième siècles" par JM. Vignon – Ingénieur en Chef des Ponts et Chaussées - Dunod Editeur – Paris - 1862.

Germain Boffrand fut Ingénieur des ponts et Chaussées alors sous la direction de Trudaine et le conseil de Perronet. Il prit le titre de Premier Ingénieur le 8/5/1742. Germain Boffrand décèdera à 87 ans, le 19/3/1754.

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Références :

1 - Bulletin des lois - 1838 du 16/9/1838
3 - Bulletin des lois - 1833 du 28/1/1833
4 - Les Inondations en France depuis le VIème siècle jusqu'à nos jours - - Maurice Champion par Dunod Editeur à Paris, Tome 4 - 1862 - pCXII.
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Boulland est un architecte parisien ayant à son actif plusieurs réalisations de ponts suspendus entre 1839 et 1863.

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Références :

1 - Bulletin des lois - 1831 du 20/11/1831
2 - Bulletin des lois - 1832 du 11/6/1832
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Références :

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Références :

1 - Bulletin des lois - 1836 du 26/12/1836
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Références :

1 - Traité de la construction des ponts - M. Gauthey (1732-1807) par M. Navier, Tome 1 - 1843 - p136.
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Références :

1 - Bulletin des lois - 1844 du 8/11/1844

Membre du conseil général de la Sarthe- ancien député (en 1844)

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Joseph Chaley naît à Ceyzérieu dans l'Ain en 1795 d'un père notaire, au sein d'une famille de six enfants.
Après un début de carrière cahotique dans des métiers très différents, la nouveauté que constituent les ponts suspendus l'attire et il s'associe avec Pont de Beaucaire et de Pont de Chazey sur Ain .
Ambitieux, il arrive en 1830 à Fribourg et présente le projet de pont le plus innovant pour l'époque , par la longueur de sa portée principale. En concurrence avec Pont Basse-Chaîne (Angers) en 1839.
Joseph Chaley s'établira au Château de Rosière près de Bourgoin, domaine de sa belle-famille Champagneux.
Après la catastrophe en 1850 de l'effondrement du Pont Basse-Chaîne (Angers) qui fut la cause de la mort de 226 soldats, il se tourne vers les travaux portuaires. On le retrouve à la Joliette à Marseille en 1848 puis à Tunis, où il mourra le 15 Avril 1861, emporté par le choléra.

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Charles Seguin apporta aux entreprises des frères Seguin sa connaissance du lobby notamment parisien. Très souvent résident en dehors d'annonay, et notamment à Paris à partir de 1826, il s'intègre à la bourgeoisie parisienne.

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Louis-Etienne Joseph Cordier est né à Orgelet (Jura) dans le 15/8/1775. Elève de l'Ecole Polytechnique, il rentre en 179ç à l'Ecole des Ponts et Chaussées. Il est l'auteur de grande réalisation comme le canal de Saint-Quentin, le pont de Maisons sur Seine, qui fut terminé par M. >Polonceau.

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Pour plus de détails : Les Ponts Modernes - 18EME-19EME siècles - Editions Picard

Extrait de ce dernier : Louis Crozet fut ami de Stendhal. Ingénieur des Ponts et Chaussées à Grenoble, il établit les plans du pont suspendu de Sassenage. Avant de pouvoir l'achever, il est nommé Ingénieur en chef dans un autre département.

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Références :

1 - Fonds d'archives Seguin - aux origines de la révolution industrielle en France - 1997 - Michel Cotte par Archives Départementales de l'Ardèche

Neveu de Joseph de Montgolfier, Camille Seguin est frère de Marc et de 7 ans son cadet. Il épouse Coelie Macker en 1813 dont il a un fils Ferdinand, qui sera le successeur des Seguin dans l'activité de construction des ponts.

Jeune, dès 1814, il effectue des voyages de commerce au profit de Seguin & Cie . Il prend l'initiative de l'extension de la zone commerciale vers le Sud de la France, ainsi que vers l'Est vers la Suisse francophone.

Il travailla étroitement et efficacement avec ses frères (notamment Premier pont de Tournon , notamment par un voyage en Franche-Comté.

Il décède à Toulon en 1852.

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Références :

1 - Bulletin des lois - 1833 du 2/12/1833
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Références :

1 - Bibliographie du Maine - 1844 - N. Desportes par Pesche à Le Mans - p185.
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M. Delbergue-Cormont a été ingénieur en chef dans le département des Hautes-Alpes. Il y publie un décret le 14 thermidor an XIII (2 août 1805) qui prescrit les mesures à prendre pour la défense des territoires contre les torrents. A cette même période, il publiait un mémoire sur cet objet (Mémoire dans lequel on essaye de faire voir que les communes peuvent, sans autre secours que leurs bras, se mettre à l'abri des torrents secondaires) ! Im semble être décédé en Juin 1841.

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Références :

1 - Traité de la construction des ponts - M. Gauthey (1732-1807) par M. Navier, Tome 1 - 1843 - p135.
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Ingénieur en chef du département de l'Aube au début du XIXème siècle.

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Références :

1 - Les Ponts Modernes - 18EME-19EME siècles - 1990 - Bernard Marrey par Picard - p307.
2 - Fonds d'archives Seguin - aux origines de la révolution industrielle en France - 1997 - Michel Cotte par Archives Départementales de l'Ardèche

Marie Fortuné de Verges est né en 1794, à Arnouville (Eure), retraité en 1852. Diplômé de l'Ecole Polytechnique et de celle des Ponts et Chaussées, il est en poste en divers département. Associé à A-J Bayard de la Vingtrie , il devint ingénieur constructeur de nombreux ponts suspendus, et prit notamment une part importante dans la construction de ponts , et s'investit aussi, à l'instar des frères Seguin dans la mise en place et l'exploitation de chemin de fer.

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"Histoire de Libourne et autres villes et bourgs de son arrondissement" par M. Raymond Guinodie ainé- 1845 - T2 - p89.

M. Deschamps fut inspecteur divisionnaire aux Ponts et Chaussées à Bordeaux au début du XIXème siècle.

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Guillaume-Henri Dufour naît à Constance le 15 septembre 1787, où sa famille s’était réfugiée après les troubles à Genève de 1782. Il entre pourtant en 1809 à l’Ecole Polytechnique de Paris (toute jeune encore puisque créée en 1794 par Napoléon), dans la section de pionnier.
Il quitte le service actif français en 1817 et prend à Genève le poste d’ingénieur cantonal, ce poste comprenant également les affaires militaires et l’urbanisme.
Duhour s'impliqua activement dans l’aménagement urbain de Genève, et en 1823, en collaboration avec passerelle qu'il ériga en 1823 fut manifestement la première du genre, et cette première réalisation dont il partage la primeure avec Marc Seguin fut le début d'une réelle révolution des infrastructures en Europe.
Les autorités fédérales lui donnèrent aussi mission de fonder l'Ecole militaire de Thoune. IL est alors nommé Colonnel fédéral. Il se voit confier notamment l'éducation militaire du futur empereur Napoléon III.
A l'occasion de la guerre du Sonderbund il prend la tête de l’armée Suisse en 1847 en tant que Général. G.H Dufour mène ainsi en vingt-cinq jours une courte campagne avec peu de pertes pour chaque camp. Il empêche les parties de se venger à l’issue du conflit, ce qui fait que la Diète le désigna sous le vocable “le Pacificateur”.
Co-fondateur en 1852 de la compagnie de chemin de fer Lyon-Genève, il est mandaté pour la planification de la ligne.
Par la suite, Dufour compta au nombre des cinq membres de la commission, qui, le 9 février 1863, décidaient de créer un "Comité international de la Croix-Rouge". Et sous la présidence du général, la conférence vota le 25 mai 1864, la ratification de la "Convention dite de Genève" qui portait fondation de la "Société de secours aux blessés militaires".
C'est sous son égide qu'en 1865, la première oeuvre cartographique complète de la Suisse est terminée.
Il se retire de l’Etat-Major, et s’éteint dans son domaine familial le 14 juillet 1875 à Genève.
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Références :

2 - Bulletin des lois - 1837 du 24/12/1837
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Dominique, Louis-Isnel et Grégoire Escarraguel (décédé avant 1868) sont frères, architectes et entrepreneurs à Bordeaux. Ils se distinguent notamment par la construction du phare du Cap Ferret près d'Arcachon en 1836-1838. Cette réalisation coûta fort cher aux entrepreneurs puisque le coût réel de construction du phare dépassa très largement le coût prévu, d'environ 150 000 Fr. Leurs activités dépassèrent largement le cadre du bassin aquitain puisque nous les retrouvons sur plusieurs réalisations partout en France, et par exemple au Havre, où ils sont adjudicataire de la construction d'un bassin dock au Havre.

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Références :

1 - Bulletin des lois - 1841 du 16/6/1841
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Le frère François Romain, originaire de la ville de Gand, religieux convers-profès de l'ordre de Saint-Dominique, venait d'achever la première arche du pont de Maestricht, et avait reçu pour ce travail une gratification considérable des États de Hollande lorsqu'il fut appelé par LouisXIV pour la construction du pont Royal à Paris.

Plus tard, il est chargé de faire les devis, visites, réceptions des ouvrages des Ponts et Chaussées de la généralité de Paris.

Frère Romain devint ingénieur des Ponts et Chaussées.

 
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Ferdinand Seguin est un petit-fils de Marc Seguin, et fils de >Camille Seguin. Il s'investit fortement dans la gestion des entreprises créées par sa famille autout des ponts suspendus.

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Ingénieur en chef des Ponts et Chaussées.

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Ingénieur en chef des Ponts et Chaussées.

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Pour plus de détails : Les Ponts Modernes - 18EME-19EME siècles - Editions Picard
mais aussi le site très riche sur Pont de Gignac

Extrait de ce dernier : François Garipuy est directeur des travaux publics de la province de Languedoc, né à Toulouse le 16 avril 1711, mort dans la même ville le Ier avril 1782. Bertrand Garipuy ou de Garipuy est son fils, né en 1748. En 1772, Bertrand Garipuy succéda à son père dans le direction des travaux publics de la province et en 1776 dans celle des travaux publics de la sénéchaussée de Carcassonne. Il l'a remplacé dans la direction des travaux du canal des Deux Mers.

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Pour plus de détails : Les Ponts Modernes - 18EME-19EME siècles - Editions Picard
mais aussi le site très riche sur Pont de Gignac

Extrait de ce dernier : François Garipuy est directeur des travaux publics de la province de Languedoc, né à Toulouse le 16 avril 1711, mort dans la même ville le Ier avril 1782. Bertrand Garipuy ou de Garipuy est son fils, né en 1748. En 1772, Bertrand Garipuy succéda à son père dans le direction des travaux publics de la province et en 1776 dans celle des travaux publics de la sénéchaussée de Carcassonne. Il l'a remplacé dans la direction des travaux du canal des Deux Mers.

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Ingénieur en chef des Ponts et Chaussées.

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Adjudicataire du pont de Langon en 1828.

En 1835 : M. Jean Gimet Fils aîné, propriétaire, demeurant à Bordeaux, rue Huguerie, n° 37.

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Références :

1 - Pasicrisie, ou, Recueil général de la jurisprudence des cours de France et de Belgique en matière civile, commerciale,... - Cours de France - L.M. Devilleneuve, A. Carette par Meline, Cans et Comp à Bruxelles, Tome 1854(1) - Ière partie - arrêt du 16/1/1854 - 1854 - p474.
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Références :

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Références :

1 - Conseil général - Corrèze, Tome 1878 - Rapport du préfet - 04/1878

Adjudicataire des Pont d'Eylac et Pont de Nouzenac .

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Références :

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Informations issues de "Mémoires de la Société royale des sciences et belles-lettres de Nancy - 1862" par l'Académie de Stanislas - 1863.

M. Emmanuel Heré est né le 12/10/1705. Il contribua très largement à la construction de nombreux édifices de la ville de Nancy. Il décèda le 2/2/1763 et portait alors les titres de Premier Architecte du Roi (de Pologne), Ecuier, Chevalier de l'Ordre de Saint-Michel.

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Informations issues de "Etudes Historiques sur l’administration des voies publiques en France aux dix-septième et dix-huitième siècles" par JM. Vignon – Ingénieur en Chef des Ponts et Chaussées - Dunod Editeur – Paris - 1862.

Jean Hupeau fut Ingénieur des ponts et Chaussées alors sous la direction de Trudaine et le conseil de Perronet. Il prit le titre de Premier Ingénieur au décès de Germain Boffrand en 1754. Il décède en 1763.

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Références :

1 - Nouvelles annales de la Construction - C.A Oppermann par Dunod à Paris, Tome 14 - 1868 - p13-14.

Ingénieur orinaire des Ponts et Chaussées en 1864 à Lyon.

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Jean-Baptiste Biot, célèbre personnalité scientifique, apporta tant un concours technique que financier au projet ambitieux de chemin de fer de Lyon à Saint-Etienne. Il aida notamment l'équipe pour le choix du tracé, par la qualité de ses relevés topographiques.
Presque conscrit de Marc Seguin, il partageait manifestement des centres d'intérêt bien similaires.
Célèbre physicien, astronome et mathématicien du XIXème siècle, il participa notamment aux travaux entrepris en Espagne pour la mesure de la Méridienne et a laissé des traces sur la polarisation, la mécanique céleste, ...
Il est à noter aussi sa proximité avec les Montgolfier, puisqu'il réalisa la première ascension scientifique en ballon pour étudier le magnétisme terrestre.

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Ingénieur

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Neveu de Joseph de Montgolfier, Jules Seguin est frère de Marc et de 10 ans son cadet. Il travailla étroitement et efficacement avec ses frères (notamment Marc, Camille, mais aussi Paul, et Charles) bien qu'adoptant généralement une ligne générale et des positions indépendantes de ceux-ci. Sa créativité technique est certaine. Entrepreneur il crée d'abord avec son cousin Pierre François de Montgolfier la société Seguin, Montgolfier et Cie, puis prend la tête de la compagnie Jules Seguin.

Pendant la période 1826-1834, Jules fut le grand entrepreneur de ponts sous le nom "Seguin", dans la mesure où son frère Marc en avait l'interdiction, compte tenu de son contrat concernant la compagnie de chemin de fer. Ceci n'empêche des relations permanentes entre les frères !

Technicien remarquable, Jules fut donc à l'origine d'oeuvres remarquables comme Beaucaire ou Bry-sur-Marne

Par la suite, Jules s'associera au sein de la compagnie "Seguin frères", issue du "pacte de famille", dont il détiendra 1/4 du capital. Marc à ce stade semble avoir choisi une autre voie.

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Références :

1 - Nouvelles annales de la Construction - C.A Oppermann par Dunod à Paris, Tome 14 - 1868 - p13-14.

Ingénieur en chef des Ponts et Chaussées à Lyon en 1864.

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Références :

1 - L'administration des intendants: d'après les archives de l'Aube - 1880 - Henri d'Arbois de Jubainville par H. Champion à Paris - p88.

Ingénieur ordinaire du Roi - Généralité de Champagne vers 1728.

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Architecte à Valence.
Note : Deux écritures du patronyme rencontrées : Lalier et Lallier.

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M. LAURENT est ingénieur des Ponts et Chaussées dans les années 1835.

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Références :

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Ingénieur en chef des Ponts et Chaussées (1833-1838). Fait nouveau pour l'époque, Il s'impliqua dans l'utilisation de l'armée pour la construction d'ouvrages publiques, notamment le pont de la Roche-Bernard.

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"Travaux des Ponts et Chaussées depuis 1800" par M. Courtin - 1812 - p105.

M. Lecreulx fut inspecteur général des Ponts et Chaussées au début du XIXème siècle.

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Ingénieur civil à Lyon.

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Références :

2 - Le Genie Civil, Tome 2838 - 2/1/1937 - G. Leinegukel Le cocq - p2.
3 - Fonds d'Archives Arnodin - D. Chénot

Gaston Leinekugel Le Cocq est né à Cambrai le 29/11/1867 de Jean Leinekugel et d’Irma Le Cocq. Diplômé de l’Ecole Polytechnique, il sera d’abord ingénieur hydrographe en chef de la Marine. Il épouse Aline ARNODIN, fille de Ferdinand Arnodin et soeur de Georges le 22/10/1900 et entre en 1901 dans l’Entreprise Arnodin de Ferdinand. En 1922, il crée sa propre entreprise à Larche en Corrèze, la Société de construction métallique de Corrèze, puis prend progressivement le contrôle de Entreprise Arnodin .
 

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Références :

1 - Annales des chemins vicinaux - Service vicinal Paris par Imprimerie Paul Dupont à Paris, Tome 1854 - Tome X - 1854 -> Accès source
2 - Traité de la construction des ponts - M. Gauthey (1732-1807) par M. Navier, Tome 1832 - Tome premier -> Accès source - p150.
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Ingénieur en chef de la Généralité d'Auch, puis de celle de Caen à partir de 1753, à l'époque de M. Trudaine.

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Informations issues de "Etudes Historiques sur l’administration des voies publiques en France aux dix-septième et dix-huitième siècles" par JM. Vignon – Ingénieur en Chef des Ponts et Chaussées - Dunod Editeur – Paris - 1862.
XVII p10, XVIII p59

Louis de Regemorte est le 3ème fils de Jean-Baptiste de Regemorte et frère de >Noel de Regemorte, ingénieur d’origine hollandaise. Après ce chantier, Louis fut nommé Ingénieur de la province d’Alsace. Louis de Regemorte décéde en Mai 1774.

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Références :

1 - Traité de la construction des ponts - M. Gauthey (1732-1807) par M. Navier, Tome 1 - 1843 - p136.
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Seigneur de Maisons, Sieur de Longueil, président du Parlement

 
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Références :

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Mr Victor Mallein est maire de La Sône, et fut d'abord, dans cette entreprise, adjudicataire à La Sone du Bac (fermier) avant 1833, puis lorsque que le projet de pont suspendu se présenta à cette même époque, il réunit les fonds et compétences pour soumissionner. Il gagna la consultation puisque seul soumissionnaire. Il devint donc constructeur et concessionnaire du nouveau pont qui se substituerait au bac. Il géra donc la concession jusqu'à sa revente à l'état en 1888 (la durée de la concession était initialement de 95 ans à partir de son ouverture au public en 1833). Une des clauses du cahier des charges précisait que l'adjudicataire devait être une personne locale.
Il fut (logiquement) l'un des plus ardents opposant à la construction du pont de Beauvoir en amont sur l'Isère.

Il s'opposa aussi, en 1887, au projet de rachat du pont de Beauvoir, non simultané à celui de La Sône, compte tenu du préjudice économique prévisible, lié à la gratuité induite par le rachat.

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Lazare Mangini fut un collaborateur et ami précieux des frères Seguin. Il contribua fortement à la mise en place de la ligne de chemin de fer Saint-Etienne Lyon. Deux de ses enfants (Celine et Felix) épousèrent respectivement deux enfants de Marc Seguin : Augustin et Marie-Pauline.

Lazare et ses enfants furent de formidables entrepreneurs qui prendront une part croissante dans le développement de l'industrie lyonnaise.

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Le 19 avril 1614, messire Nicolas Brulart, chevalier seigneur de Sillery, alors chancelier de France, passa, au nom du roi Louis XIII, avec le sieur Christofle Marie, un contrat par lequel ce dernier s'engageait à construire à ses frais un pont en pierre à Paris pour passer du quartier Saint-Paul au quartier de la Tournelle, moyennant qu'il lui serait fait abandon des terrains alors non bâtis de l'île Saint-Louis (qui s'appelait l'île Notre-Dame), pour y construire des maisons.

 
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Références :

1 - Conseil général - Allier, Tome 1847 - 1847 - p99,132-133.
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Références :

Adjudicataire du pont de St Jean de Blagnac en 1832 et constructeur du pont de Langon.

En 1835 : ingénieur en retraite, demeurant a Bordeaux, rue Montnigean, n° 10.

Emile Martin, fils de Dominique Martin obtint l’adjuducation du pont des Saint-Pères (1831) et entreprit le pont suspendu de Cosne

 

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Références :

1 - Bulletin des lois - 1832 du 7/6/1832

Fils de Pierre-Dominique Martin

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Références :

1 - Bulletin des lois - 1842 du 3/4/1842
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La famille Mignot est une famille d'Annonay amie des Seguin. Vincent Mignot épouse Thérèse Seguin, soeure cadette de Marc, qui malheureusement décèdera jeune à l'âge de 24 ans en 1823. Vincent Mignot travaille donc de façon très proche des frères Seguin, et fonde sa propre compagnie, la Mignot frères . A noter qu'un des fils de Marc Seguin (Etienne) épousera une fille Mignot (Celine).

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(Extrait de Wikipédia) - Louis Moisset est un ingénieur français, né le 29 janvier 1741 à Civry (actuellement en Eure-et-Loir) et décédé le 13 novembre 1827 à Tarbes (Hautes-Pyrénées). Il travailla pendant quatorze années à la Carte de Cassini, notamment au levé de la planche de Bordeaux, de Bayonne (n° 139), Orthez (n° 107), Pau (n° 108), Saint-Jean-Pied-de-Port (n° 140), Cauterets (n° 108+) et Bagnères (n° 76).
En 1776, Louis Moisset sollicita de Trudaine de Montigny un emploi dans le service des Ponts et Chaussées, bien que n’ayant jamais été élève de l’École des Ponts et Chaussées. Grâce à la protection de Perronet (entre autres), il devint en 1777 sous-ingénieur des ponts et chaussées du Pays d’État de Bigorre, en résidence à Tarbes.
Il s'impliqua dans le développement des sources thermales de Barèges (captage des sources et construction des piscines).

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Architecte à Châtillon-sur-Seine

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Pierre-François de Montgolfier est le fils de Joseph de Montgolfier, célèbre co-inventeur des ballons à air chaud ou aérostats, du parachute et d'autres inventions. Il est vraisembable que compte-tenu des liens spécifiques qui s'étaient établis entre Marc Seguin et son grand oncle Joseph de Montgolfier, il y ait eu des relations particulière entre Pierre-François et Marc et ses frères. Toujours est-il que Pierre-François apportera une contribution réelle (technique et financière) aux entreprises de Marc Seguin et ses frères. Il déposa lui-même des brevets notamment sur la Entreprise de halage à la vapeur sur le Rhône .

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Sous-ingénieur dans la généralité de Champagne vers 1760.

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Références :

1 - Mémoire de presqu'île - 2002 - Société d'économie mixte Lyon Confluence

En 1766, deux projets d'extension de LYON s'affrontent. Celui de Antoine-Michel Perrache qui consiste à Viabilisation et aménagement des terrains de Lyon-Perrache et ce façon concurrente, celui de Jean-Antoine Morand qui plaide en faveur d'une expansion circulaire sur la rive gauche du Rhône – rive jusqu'alors hostile et étrangère -et de la création du nouveau quartier des Brotteaux au nord de la Guillotière. Ce projet, conçu en 1764, obtint finalement gain de cause. La Cie Morand (des Ponts du Rhône) fondée à cette occasion est pilote du projet et obtient par ailleurs le monopole des traversées de Saint Clair en amont à la Guillotière en aval. Elle aura donc la responsabilité de la construction de tous les ponts de Lyon en amont de celui de la Guillotière.
Le premier pont construit est le pont Morand, en bois. Sa construction dura 4 ans de 1771-1775.
Lorsque les ponts suspendus démontrèrent leurs qualités, après 1825, la compagnie en construira de nombreux.

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Références :

1 - Souvenirs de la Vie privée de Marc Seguin. 1786 - 1875 - 1926 - René de PRANDIERES par Lyon
2 - Fonds d'archives Seguin - aux origines de la révolution industrielle en France - 1997 - Michel Cotte par Archives Départementales de l'Ardèche
3 - La vie du Rail, Tome 634 - Albert Duluc - 16/02/1958

Petit neveu de Joseph de Montgolfier, Marc Seguin travailla étroitement et efficacement avec ses frères (notamment Camille Seguin , mais aussi Jules Seguin , Paul, et Charles) qui contribueront aussi largement à ses succès. C'est la raison de sa signature "l'Aîné". Il est difficile de rendre à chacun la part qui leur revient dans cette association, Marc apparaissant sans conteste le leader, par son génie, son aptitude à organiser, et son sens de l'entreprise.
Marié en 1813 avec Augustine DURET, il eut treize enfants ; veuf en 1837, il se remaria en 1839 avec Augustine de MONTGOLFIER qui lui donna encore six enfants.
Il fut tant un inventeur qu'un entrepreneur célèbre. Le développement complet de ses principales entreprises (ou celles de son entourage direct) est proposé sur un site entièrement consacré à son oeuvre.

M. Seguin fut l'inventeur des ponts suspendus, et aussi de la chaudière tubulaire. Mais ses inventions ne se limitent pas à ces deux points.

 

Il avait le sens des affaires et du management et accompagnait ses inventions d'un déploiement industriel remarquable :

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Références :

1 - Bulletin des lois - 1839 du 6/7/1839
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Références :

1 - Circulaire de M. Becquey en faveur du rapport de C. Navier, à l'attention des Préfets - 11/1823 - M. Becquey, Directeur des Ponts et Chaussées et des Mines

Claude Navier, professeur à l'Ecole des ponts et chaussées fut un précurseur malheureux dans l'histoire des ponts suspendus. Il fait partie des premiers observateurs français envoyés en 1821 et 1823 pour analyser l'innovation anglaise relative aux ponts suspendus.
Concurrent de Marc Seguin et nommé expert technique du projet Seguin pour la Direction des Ponts et Chaussées, il s'oppose, devant l'Académie des Science, à l'utilisation des fils de fer pour la suspension des ponts. Sa première entreprise à Paris au Pont des Invalides (1) - Paris fut un echec puisque ledit pont fut démoli avant même d'avoir été achevé, suite à la rupture d'une des suspensions à chaînon.

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Le Sieur Ozou est négociant à Trèguier quand il investit dans la construction et l'exploitation de pont suspendu dans les environs de Tréguier. Sa collaboration avec les Seguin sur le pont de Lézardrieux sera toutefois interrompue rapidement.

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à complèter

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Selon Travaux des Ponts et Chaussées depuis 1800 par M. Courtin en 1812, Claude-Yves-Joseph La Ramée Pertinchamp (Baron de l'Empire) (le nom de Pertichamp apparaît aussi dans certains ouvrages) s'impliqua aussi dans la construction du Pont de la Stura , sur la Stura de Lanzo , route de Paris à Milan, par le Mont Cénis et Turin dont les caractéristiques sont : en charpente, les culées en pierre, 11 travées de 8m, 85 (27 pieds) d'ouverture. Sa longueur totale est de 99 mètres ( 3o4 pieds ), sa largeur de 7 mètres (21 pieds).
M. Pertinchamp s'impliqua aussi dans la construction du pont de Carignan sur le Pô, qu'il débuta en 1809, et dans celle du pont Vittorio Emanuele à Turin sur le Pô (de 1810 à 1814).

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Références :

1 - Revue de l'Agenais - , Tome 135 - 2008
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Bruno Plagniol est ingénieur des Ponts et Chaussées du secteur de Tournon quand il commence en 1821 sa collaboration avec Marc Seguin, dans le projet du premier pont en fil de fer qui sera établi à Tournon en 1825.
B. Plagniol fut donc précurseur et collaborateur précieux de M. Seguin dans l'aboutissement de ce projet phare. Cette collaboration se concrétise le 1° Avril 1822 par la rédaction conjointe du rapport "Description d'une passerelle en fil de fer à construire sur le Rhône entre Tain et Tournon". Un deuxième rapport est déposé en Novembre 1822.
Il semble toutefois qu'après 1822, les idées de Plagniol et de Seguin divergent.
Michel Cotte indique dans (1) la réalisation de la passerelle de la Payre entre 1822 et 1823.
B. Plagniol continue de s'impliquer dans la construction des ponts puisqu'on le retrouve présent dans la construction du pont de Bourg Saint Andeol.

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Ingénieur civil à Dôle (Jura)

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Références :

2 - Antoine-Remy Polonceau (1778-1847) - Un Homme libre - 10-2011 - Denis Hannotin, Christine Moissinac par Presse des Ponts à Saint-Etienne
4 - Notice sur le nouveau système de ponts en fonte suivi dans la construction du pont du Carrousel - 1839 - A.R Polonceau par Carilian-Goeury et Ve Dalmont à Paris
5 - Pont en fonte exécuté à l'entrée du parc de Maisons, en 1822 - 1829 - M. Polonceau par Carilian-G%u0153ury à Paris

Polytechnicien (1796 corps des ponts et chaussées), Antoine Rémi Polonceau mena des constructions de routes dans les vallées alpines, dirigea les service de navigation de la Seine, et fit d'importantes études concernant diverses lignes de chemins de fer, dont celle de Chemin de fer Paris(Rive Gauche) - Versailles en coopération avec Marc Seguin et freres

Il développa une technologie particulière pour la construction des ponts en fonte, qu'il appliqua en 1834 à la construction du Pont du Carrousel ou des Saints-Pères - Paris . Cette technologie trouvera de multiples applications sur d'autres ponts en France, voire au-delà.

Ces principes techniques seront synthétisés dans un mémoire "Description de plusieurs perfectionnements exécutés au Pont de Carrousel" qu'Antoine Rémi Polonceau publia en 1845.

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Au Moyen-Âge, au moment où l’anarchie féodale était à son apogée, des pèlerinages réunissent à époque fixe autour de sanctuaires vénérés une foule pieuse, venue des contrées circonvoisines, quelques fois même de tous les points de la chrétienté. Aux vues des dangers et fatigues subies par les pèlerins, des quêtes, des fondations œuvrent pour leur venir en aide. Progressivement les ponts sur les grandes rivières, l'organisation de bacs, la mise en place d'hopitaux à proximité des rivières furent alors objet de leur préoccupation.
Les constructions de ponts devinrent alors des œuvres méritoires de piété et de charité au même titre que la construction d’églises, ou de se dévouer au service des malades.
Pour ces ponts, il fallait des constructeurs : l’ordre des frères pontifes, ou Frères des Ponts, est fondé en XIIème siècle (ou peut-être même avant) : pontifex = constructeur de ponts, pontificare = faire un pont. Cet Ordre (est-ce un ordre unique ?) trouve son éclat au commencement du XIIIème.

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Premier président du parlement,

 
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Paul Seguin fut le second de bien des entreprises de ses frères. On lui confère de forte capacité technique et aussi de négociateur dans les conflits sociaux.

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Références :

1 - Description des villes et campagnes du département de l'Yonne - Victor Petit par Ch. Gallot à Auxerre, Tome 2eme - 1870 - p53-54.
2 - Traité de la construction des ponts - M. Gauthey (1732-1807) par M. Navier, Tome 1 - 1843
3 - Les Ponts Modernes - 18EME-19EME siècles - 1990 - Bernard Marrey par Picard - p100.

Collègue de Sieur Emiland Gauthey .

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Références :

2 - Bulletin des lois - 1839 du 16/11/1839
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Références :

1 - Bulletin des lois - 1834 du 9/11/1834
2 - Bulletin des lois - 1835 du 30/6/1835

Ingénieur civil, chevalier de la légion d’honneur, domicilié à Paris.    

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René de Prandières est un des gendres de Marc Seguin, il épouse sa dernière fille Louise-Marie (née en 1861). Il est Ingénieur des Arts et Métiers.

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Saget ( Joseph-Léopold), ancien membre du corps législatif, inspecteur divisionnaire des ponts et chaussées, chevalier de la Légion-d Honneur, membre du conseil général du département et de la société des sciences, arts et agriculture de la Moselle, est né à Metz le 10 octobre 1748. Il était fils de Léopold Saget chirurgien en chef de l'hôpital militaire, et de dame Régnier.

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Officier de la garnison de Thionville, capitaine d'une compagnie franche de suisses qui a eu longtemps son quartier à Thionville dans la deuxième moitié du XVIIème siècle.

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Marc François Seguin fut le fondateur de la société Seguin et Cie. Il fut souvent le membre "modérateur et critique" à l'égard des entreprises de ses fils. Sa compétence juridique fut aussi très utile aux fils. Sa notoriété à Annonay fut importante et nous le voyons là en habit de juge du tribunal de commerce.

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Georges Stephenson a eu une activité similaire à celle de Marc Seguin , mais en Angleterre à Newcastle, inventant le principe de la traction à vapeur sur voie ferrée, construisant le premier tunnel ferroviaire en 1826, développant tant le principe de la traction que l'infrastructure ferrée, et construisant la première usine de locomotive à vapeur.

Georges Stephenson mit en place à Newcastle la première voie ferrée commerciale entre Stockton et Newcastle en 1825, puis de Liverpool à Manchester (1826-1830). Il s'inspira par ailleurs des travaux de Marc Seguin pour perfectionner sa première locomotive, et gagner le concours de vitesse avec "The Rocket" en 1829.

Son fils Robert (1803-1859) inventa le principe de construction des ponts métalliques tubulaires.

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Thomas ARNODIN, père de Viaduc de Meudon sont réalisés avec les pierres des carrières de Chatillon, où Thomas habitait, chez sa mère. Il continuera toute sa vie avec les Pont d'Elbeuf où il se marie, puis à Lyon en 1844 et 1845 comme conducteur de travaux d'art lors des naissances de ses fils dont Ferdinand . Il habite alors à La Mulatière de l'autre côté du pont par rapport aux Etablissements Seguin. La suite de sa carrière se fera à Chateauneuf-sur-Loire, travaillant sur les ponts suspendus des frères Seguin, mais, semble-t-il, progressivement avec un statut d'entrepreneur indépendant. Il mourra en 1866 à Lorient à l'occasion de travaux d'entretien du Pont de Kermelo-Lorient .

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L'ingénieur Armand Thévenet fut l'un des chefs de chantier des Seguin à Tournon, avant de prendre à son compte la réalisation d'ouvrages.

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Références :

1 - Traité de la construction des ponts - M. Gauthey (1732-1807) par M. Navier, Tome 1 - 1843 - p138.
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Louis Vicat fut contemporain (en fait conscrit) et ami de Marc Seguin. Ils travaillèrent ensemble à la construction du pont suspendu d'Argentat. Il est aussi vraisemblable en tant qu'ancien polytechnicien, il eut des contacts avec Henri Dufour , et ensemble contribuèrent à l'avénement des ponts suspendus en fil de fer en France!
Il travailla aussi de concert avec Joseph Chaley sur "aerial cable spinning in place of prefabrication (?) "

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Ingénieur des ponts et chaussées vers 1840.

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Références :

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