Présentation détaillée (partielle)
de la compagnie Camille Paret
Synthèse
| Plan de France entière |
 |
|
|
Attention, la courbe ci-dessous est créée dynamiquement à partir de la base des ouvrages. Elle peut donc être amenée à évoluer, en fonction du renseignement de la base. Par ailleurs, nous avons considéré qu'un chantier moyen durait 2 ans.
|
|
|
Présentation détaillée des ouvrages réalisés ou réparés par la société
Références :
Synthèse :
La construction du pont de la Mothe (ou Lamothe) a été autorisée par l'ordonnance royale du 27/11/1832 (2). Cette même ordonnance approuve l'adjudication des travaux et du péage (passée le 17/9/1832) en faveur de Camille Paret , en contre-partie d'une concession de durée de 89 ans (1903 selon (3)). Selon (1), le pont de la Mothe sur l'Allier a été construit en 1835, et comporte 2 travées, suspendues par fil de fer, de 117m de long pour une largeur de tablier de 4.15m.
Références :
Synthèse :
La construction du pont de Langeac a été autorisée par l'ordonnance royale du 15/10/1833 (2). Cette même ordonnance approuve l'adjudication des travaux et du péage (passée le 12/8/1833) en faveur de Camille Paret , en contre-partie d'une subvention de 30000 Fr et une concession de durée de 98 ans. Selon (1), le pont de Langeac sur l'Allier a été construit en 1835, et comporte 1 travée unique, suspendue par fil de fer, de 62.5m de long pour une largeur de tablier de 4.4m.
- Pont de Neuville sur Saône
Références :
Synthèse :
Le site de la mairie de Neuville présente des informations très détaillées concernant le pont suspendu de Neuville.
Rapidement, le bac mis en place en 1808 ne donnant pleine satisfaction au regard de l'évolution du besoin, la commune décide en 1828 de la construction d'un pont à péage. Ce n'est que le 28 février 1831 qu'une ordonnance royale approuve cette construction, qui sera livrée au public courant 1832.
Malgré tout, de nombreuses plaintes sont émises pour non conformité de la construction au contrat, qui ne trouvèrent satisfaction complète qu'en 1851.
Synthèse :
L'autorisation de construction d'un pont suspendu est établie par le Bulletin de Lois du 9/4/1831 (2). Les travaux sont adjugés à Camille Paret . La construction effective du pont est confirmée dans les tableaux de synthèse présents en (1) établis en 1855. Il y est indiqué qu'un pont suspendu à fil de fer a été construit sur l'Ain à Pont d'Ain en 1832. La concession débute en octobre 1832, ce qui doit correspondre à la date de mise en circulation. Ce pont comporte 2 travées pour une longueur totale entre culée de 114m, et un tablier de 5.42m de large.
Plus de détails sont disponibles sur le site art-et-histoire.com
- Pont de Serrière-sur-Ain
Synthèse :
L'ordonnance royale publiée le 4/6/1834, autorise la construction d'un pont suspendu à Serrières sur l'Ain, pour le service de la route royale N° 79 de Nevers à Genève, et confirme le bien-fondé de l'adjudication des travaux, passée le 22/1/1834 à Camille Paret . Ce pont comporte une seule arche pour une longueur totale entre culée de 68m et une largeur de tablier de 4.2m. La mise en service (date de début de la concession de 25 ans) eut lieu en Janvier 1835. Le pont suspendu a été noyé par la mise en eau du barrage d'Allement et remplacé en 1960 par l'ouvrage actuel à une arche unique de 122,5m.
Plus de détails sont disponibles sur le site art-et-histoire.com
