Tous les ouvrages du XIXème ou antérieurs
dans la ville de Pesmes
3 réalisations identifiées, 2 emplacements identifiés
Plan de Région Saône |
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Liste de tous les ouvrages sélectionnés
Références :
Synthèse :
Deux ponts de pierre à Pesmes sur l'Ognon sont au service de la route de Gray à Dôle et à Lons-le-Saulnier. Il semble que dès 1212, un pont sur l'Ognon fut présent à Pesmes.Selon (1), un premier pont, construit en 1774 aux frais du Roi par M. Bertrand, comporte 3 arches de pierre de 42 pieds chacune. Un deuxième pont est aussi présent sur le canal des Moulins. Ce dernier, construit en 1764 aux frais du Roi, comporte 3 arches de 24 pieds chacune. Le premier est noté "en bon état" en 1789, alors qu'il est noté que les piles du deuxième sont dégradées. Le passage fut détruit en 1870 par les Prussiens pour retarder l'avance des troupes du Général Bourbaki. Il fut rétabli en 1875.
Synthèse :
Deux ponts de pierre à Pesmes sur l'Ognon sont au service de la route de Gray à Dôle et à Lons-le-Saulnier. Il semble que dès 1212, un pont sur l'Ognon fut présent à Pesmes.Selon (1), un premier pont, construit en 1774 aux frais du Roi par M. Bertrand, comporte 3 arches de pierre de 42 pieds chacune. Un deuxième pont est aussi présent sur le canal des Moulins. Ce dernier, construit en 1764 aux frais du Roi, comporte 3 arches de 24 pieds chacune. Le premier est noté "en bon état" en 1789, alors qu'il est noté que les piles du deuxième sont dégradées. Le passage fut détruit en 1870 par les Prussiens pour retarder l'avance des troupes du Général Bourbaki. Il fut rétabli en 1875.
Synthèse :
Deux ponts de pierre à Pesmes sur l'Ognon sont au service de la route de Gray à Dôle et à Lons-le-Saulnier. Il semble que dès 1212, un pont sur l'Ognon fut présent à Pesmes.Selon (1), un premier pont, construit en 1774 aux frais du Roi par M. Bertrand, comporte 3 arches de pierre de 42 pieds chacune. Un deuxième pont est aussi présent sur le canal des Moulins. Ce dernier, construit en 1764 aux frais du Roi, comporte 3 arches de 24 pieds chacune. Le premier est noté "en bon état" en 1789, alors qu'il est noté que les piles du deuxième sont dégradées. Le passage fut détruit en 1870 par les Prussiens pour retarder l'avance des troupes du Général Bourbaki. Il fut rétabli en 1875.