Tous les ouvrages du XIXème ou antérieurs
dans la ville de Chazeuil
3 réalisations identifiées, 1 emplacements identifiés
Plan de Région Loire |
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Liste de tous les ouvrages sélectionnés
Synthèse :
Une première ordonnance royale publiée le 8/6/1834, autorise la construction d'un pont suspendu à Chazeuil sur l'Allier, pour le service de la route royale N° 146 de Limoges à Varennes, en remplacement du bac existant. Mais cette première procédure n'aboutit pas (5/9/1834). Une deuxième ordonnance du 29/5/1835, approuve l'adjudication passée à M Jean de Raffin, le 20/2/1835, en contre-partie d'une concession d'une durée de 33 ans. La mise en service (date de début de la concession) eut lieu en 12/1837. Ce pont a été détruit par la crue de 1846, ses deux culées, affouillées par le flux du fleuve en crue, ayant été emportées. Il sera reconstruit vers 1849, sous la forme d'un nouveau pont suspendu.
Plus de détails sont disponibles sur le site art-et-histoire.com
Synthèse :
Détruit en 1846, le pont suspendu fut reconstruit, puisque telle était l'obligation du concessionnaire, mais (5) nous indique que la réaction du concessionnaire n'est pas assez rapide, bloquée par un conflit entre concessionnaire et actionnaire. La référence (6) nous indique que celui-ci ne fut reconstruit qu'en 1849. Il comporte 2 travées, pour une longueur entre culée de 185m et une largeur de tablier de 6m. Le nouveau pont suspendu n'eut une durée de vie guère plus longue que son prédécesseur, puisque le pont fut à nouveau emporté par la crue de Septembre 1866 (comme celui de Vichy).
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- Pont de Chazeuil (5/9/1872)- M de La Beaume
Synthèse :
Le précédent pont ayant été détruit par la crue de 1866, c'est un pont en fonte qui est retenu, pour notamment répondre à l'espoir d'une double utilisation (piétonne et ferrée - comme le pont de Vichy). Ce dernier fut mis à disposition le 20/5/1871 (après celui de Vichy en 1870) selon (6) et (7) . Il est constitué de 6 arches de 37m d'ouverture, sur pile et culée maçonnées. Son tablier est particulièrement large (7m) compte-tenu de son ambition d'autoriser une voie férrée, en complément de la voie charretière (5m).
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