Tous les ouvrages du XIXème ou antérieurs
dans la ville de Grenoble
5 réalisations identifiées, 3 emplacements identifiés
Plan de Région Sud-Est |
 |
|
Plan de Grenoble vers 1863 |
 |
|
Liste de tous les ouvrages sélectionnés

- Pont suspendu de Grenoble à Sassenage
tel qu'en 1906
Synthèse :
La construction du pont sur le Drac à hauteur de Fontaine, débute dès le début du XIXème siècle puisqu'un premier pont en bois fait l'objet d'une adjudication en 1810, mais ce projet n'aboutit pas. C'est dans ce contexte que la préfecture cherche une solution alternative et s'intéresse aux ponts à suspension en fer. Malgré l'intervention directe des Seguin et de Dufour, la préfecture de l'Isère optera pour une suspension à chaînon en fer plutôt qu'en fil de fer !
L'adjudication a lieu le 24/10/1825 en faveur de Giroud fils. Le pont est réalisé d'une seule travée de 133 mètres, un record pour l'époque ! L'entrepreneur bénéfice en contrepartie des dépenses engagées pour la construction du pont, de la jouissance de la concession pendant 99 ans.
Plus de détails sont disponibles sur le site art-et-histoire.com

- Le premier pont suspendu Saint Laurent
tablier en bois - carte 1906
Synthèse :
Le pont Saint Laurent à Grenoble sur l'Isère est d'abord un pont en bois avant d'être substitué en 1838 par un pont suspendu en fil de fer. Ce dernier fait l'objet d'une rénovation importante en 1909. C'est sous cette forme que nous le connaissons aujourd'hui.
Plus de détails sont disponibles sur le site art-et-histoire.com

- L'ancien pont Saint Laurent en bois - Artiste inconnu
Synthèse :
Le pont Saint Laurent à Grenoble sur l'Isère est d'abord un pont en bois avant d'être substitué en 1838 par un pont suspendu en fil de fer. Ce dernier fait l'objet d'une rénovation importante en 1909. C'est sous cette forme que nous le connaissons aujourd'hui.
Plus de détails sont disponibles sur le site art-et-histoire.com

- Pont Marius Gontard
Synthèse :
Ce pont à Grenoble sur l'Isère, au service des routes royales N°75 de Châlons-sur-Saône à Sisteron, n°85 de Lyon à Antibes et n°90 de Grenoble au fort Barraux, routes qui arrivaient alors par la "porte de France" a pris dans l'histoire de nombreuses appellations telles que "Pont de pierre", "Pont de la graille", "Pont de Crequy". Il fut reconstruit en pierre en 1839, en substitution d'un pont en bois, pour prendre l'apparence que nous lui connaissons aujourd'hui.
Plus de détails sont disponibles sur le site art-et-histoire.com
Synthèse :
Ce pont est situé à l'extrémité méridionale du quai de la Perrière, au service de la route de Lyon, qui arrivait alors par la "porte de France", . Il semble que sa construction débuta en 1621, sous l'initiative de Lesdiguières, qui fut aussi l'architecte du magnifique pont de Claix. Après le décès de M. Lesdiguières, sa construction fut poursuivie par Charles de Créqui de Bonne. Ce pont fut malheureusement renversé en 1651, puis reconstruit. Selon(1), il ne résista pas aux deux crues successives de 1733 et 1740, et fut alors l'objet d'une nouvelle reconstruction en 1740. Le document (2) nous indique qu'en 1807, ce pont est en bois. Sa reconstruction en pierre fut réalisée en 1839, par le Sieur Arnaud.
Plus de détails sont disponibles sur le site art-et-histoire.com